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64 Commentaires

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    • aurélien sur 22 février 2006 à 15 h 09 min
    • Répondre

    Malgrè mon très jeune age, je prefere vous confier une partie de mon premier roman… j’attend de vous des critiques constructives..
    Merci d’avance, et bonne lecture..

    Raphael a renconter le sentiment de jalousie très tard, à l age de 20 ans. Lili l a bien aidé. Elle seule arrivé a faire taire raphael, en un regard elle le déstabilisaisé. Et quoi de plus dure que de se retrouver en position d infériorité face à cette fille. D’une sagesse sans nom, elle avait réussi à métamorphoser Raphael. Un soir ils se retrouvèrent chez lui. Moment de grace. Elle lui offrit son corp dix minutes après son entrée. Il n’en a toujours pas saisi l explication, mais raphael a connu ce soir la l orgasme, la joie, la folie, l’hystérie, l impatience en une micro seconde. Lili ne la jamais rappeler. Lili ne rappelait jamais personne. En se retrouvant face à lui-même, raphael décida de s en remettre à la nuit. Il a alors baiser et retourner tout ce qui n avait pas de pénis. Il quitta sa pauvre ville terne et sans aucun avantage, pour enfin essayer de sombrer dans le bonheur. Il repris des études, se remit à lire dans des quantités astronomique, pour pouvoir se préparer le mieux possible à sa réintégration, dans ce monde ou la beautés est devenu synonyme de chirurgie. Où la femme prend la place progressivement de l homme.

    L homme n à plus sa place sur notre petite planète. Il ne lui reste plus qu à s accrocher a sa bagnole, sa villa et ses vacances dans un pauvre club de vacance. En espérant que le chaos arrivera après sa mort. Voila pourquoi le changement n intéresse plus l homme moderne. Il est convaincu de disposer d assez de liberté pour connaître les prémices du bonheur.

    Apres des nuits de baisses ininterrompu, raphael eu une révélation. La pénétration ne lui a apporté que frustration et désenchantement. Seul lili avait réussi à laisser un goût amer sur le bout de sa queue. Pour oublier il dû accumuler les nuits éthyliques, les jouissances sans lendemain et un chagrin a cacher en permanence, sans lequel il n’aurai d ailleurs jamais pu créer de nouvelle stratégie pour séduire ces néo pouffiasses a l allure déclinante.

    Sa lucidité ne l avais pas rendu aigri, simplement triste. Une tristesse sans espoir, il connaissait notre condition finale. Il savait la fin de l histoire avant de la commencer.
    Notre destin était commun. Une finalité brute, sans commentaire, de ce point de vue, seul la futilité n avait d intérêt à ses yeux. Et notre époque lui a permis de se complaire a merveille dans la futilité. L’amour il l’a délaissai, abîmé, censuré. L amour n est plus pour lui qu un sentiment utopique qu il laisse volontiers aux rêveuses des cours de recréation.
    En alignant les nuits d orgies, avec ses simulacres de night clubber impénitent, il s’aperçut rapidement du non sens de sa vie. Mais quand il se compara à la mass, il se disait que son chemin valais toujours mieux que les leurs.

    Il jalousai la haute bourgeoisie, mais en la convoitant, il s aperçu que leurs tristesses étaient encore plus vicieuse et vigoureuse que celle du peuple. Il préférai toujours sa voix, qu il n a par ailleurs pas choisi. Raphael est entrait
    très vite dans un engrenage déboussolent. Apres de longue étude en manipulation, heu en communication pardon, qui lui avait fais prendre un certain goût pour l alcool et les femmes, se mariant fort bien ensemble, malheureusement pas dans la durée. Il n’arrivai plus a dessouler, n en voyant pas l intérêt, il continuai.
    Sans scrupule, agissant en solitaire et en égoïste, avec une forte prédisposition pour une rhétorique de qualité, raphael a toujours réussi a baisser ce qu il voulait. Tel un animal face a sa proie, il affûtai ces mots, sortait ses plus belles citations, qu il ne cité pas vraiment en réalité, il les adoptai, mais vu le niveau intellectuelle de la plus part de ses proies, jamais il ne c est fait grillé ; couronné par un sourire cynique et trop souvent narquois. Il adaptai les stratégie de communication qu on lui avait servi pendant plusieurs années dans des écoles plus ou moins crédibles.
    Il changeai juste le concept, au lieu de l adapter aux produits d’une entreprise, il l adaptai au sexe féminin.Ce qui c est vu marché a merveille. Vendre de l illusion devenait un jeu quotidien bien réel. Il valorisai sa proie, redorer son image, avec au départ une analyse de la situation sans faille et des objectifs précis auquel il ne démentait sous aucun prétextes.

    Le romantisme était bel et bien mort au même titre que dieu. Seul le résultat compté. Le retour sur investissement devenait obligatoire. Raphael s amusa de la société. Sachant quelle ne ferai rien pour lui.
    Seul les femmes avaient un goût d inachevé.Il fallait a tout pris continuer a les pénétrer. Il ne tenait pas à son grand désarroi de cahier intime, une comptabilité aurait bien étai utile. Mais aucune hiérarchie ne lui demandai de compte a rendre, alors il s en ai toujours abstenu.
    Son entourage qui s étai réduit de moitié ces derniers mois,( baisser la femmes de ses amis, n étant pas la meilleur preuve d amour qu il soit), le rendais de plus en plus antipathique face à la vie.
    Etre aimai, comme être désaimai, relève de la même volonté, montrer a l autre qu on existe. La transparence, quoi de plus dénigrent ? Dans un monde dicté par l image.

    Raphael se souvient de ces folles nuits, consternante pour certains, magique pour d’autre. Sa vie était une scène de théâtre a échelle humaine. Tout hommes étai pour lui un personnage, dans un rôle prédéfini, les politiques pouvaient faire mine d être les metteurs en scène, les villes fessai lieu de décor, l’éclairage était bizarrement gérer par les metteurs en scène, mais le réalisateur de ce grand bordel reste encore à se jour inconnu. Se refusant à s’avouer le monde irréel dans lequel il grandit, raphael continuai à théâtraliser cet univers qui lui fait si peur. Beaucoup aimerai que leur vie ressemble a ce qui se passe dans toutes ces grandes salles noires. Romancer sa vie reste tout de même moins abrutissant que de la subir.
    La pauvreté du quotidien, dû a cette obligation de travail, que nous impose une société abrutie par le mensonge.

    Raphael fait partis de cette jeunesse ou le combat est perdu d avance.Plus d’espérance de gain, puisque les paris ne sont plus de misses. Moins de bagarre, moins d’espoir. Moins d’espoir, plus de déboire. Une jeunesse aseptisée, fondu dans un hédonisme chronique. Où la nouvelle dépression ambiante est soignée en apparence par l achat. Consommons, avant d’être consumé. Une devise pessimiste, un peu comme le monde dans lequel on nous a fait naître. Ce n’est qu’un reflet d’une génération stigmatisé par la télé. L’abrutissement des masses est en train d atteindre son paroxysme. Quand on renonce à cette manipulation, on devient irrévocablement comme raph’. Avoir 20 ans en 2005, c’est un peu comme rire avec un macchabée.

    Il mentait de la même façon qu’il baisait, silencieusement et en douceur. Des mensonges tellement vrais, exercé par un illusionniste nihiliste, plus personne ne distingué le vrai du faux, raphael lui-même se persuada que tous les mensonges se transformèrent en vérité. Illusionniste du verbe, permissif face à la folie, il mentait pour mieux se cacher. Se confier par les temps qui court est comme se faire sodomiser en Afrique sans capote.

    La crualité féminine se développe à grande allure, l’homme à peur, l’homme disparaît, quel est son avenir ?
    N’attende t’elles pas que l’on baisse la garde pour nous étaler, elles n’ont plus besoin de nous, le sperme se conserve, la fécondation in vitro est en plein boom. Elles deviennent politique, pompier, écrivain, économiste, elles s’auto suffisent. Les vibro masseur n’on jamais eu de si beau jours devant eux.

    La femme du XXIeme siècle ne nous convient plus. Il lui est arrivé de les aimer, mais il resté basé sur l’image de la femme tendre et aimante et non sur celle qui arrive a nous faire fermer notre grande gueule. Elles nous volent nos emplois, casse et annule nos rêves et Démonte nos idéologies. Nous sommes tellement surpris par ce bouleversement que seul l’abstinence pourra nous sauver. Les philosophes grecs avaient bien compris qu’un anus masculin valait toujours mieux qu’un orifice féminin. Elles ont mis le temps à nous anéantir, mais le résultat commence à se faire sentir. Prise de pouvoir subtil digne des plus grands empereurs. La persévérance est finalement leurs forces.
    Leurs perversités nous ont pour le coup enculé de façon bien profonde. Raphael ne voulais en aucun cas mourir, mais ça l aurai quand même bien arrangé. Il arrivai a saturation d’un monde sans lendemain, ou l optimisme dois se faire valoir comme pensée unique. A force d’imposition morale, on en arrive à être séquestré mentalement.

    La saturation est de tout ordre. Une saturation a la fois sexuelle et cérébrale. On se fou de nous, il est donc normal que l on deviennent fou.

    Le narrateur de se livre va se livrer .Il me semble bon de vous tenir au courrant des objectifs de se livre, en premier lieu, baiser encore plus, il est évidant que sortir un livre, nous permet de sortir plus de filles. En second lieu, travailler permet de couper un verset de la pensée. Je pourrai d’ailleurs épilogué sur la valeur du travail (qui vient du mot latin triplium : élément de torture a trois pieux), aujourd’hui considéré en France comme une véritable torture. On retrouve ce foutu réveil matin, caractéristique non négligeable. Je le répète, comment commencer une journée de façon a peu pré potable alors que celle-ci nous ruine nos rêves. A moins de détester rêver, il est impossible de rire au lever. Se lever, travailler, manger, pisser et se recoucher, bon on a quand même encore le droit de faire ça dans le désordre. Un minimum vital qui devient vite éreintant.
    Si l’on vivait 100ans nous vivrions au maximum 36500 réveils. Oui, je sais la vie est courte, moi aussi en faisant le calcul, je me suis affolé. Nous n’optimisons plus le temps, on ne le recherche même plus, Proust aura consacrée toute sa vie a essayer de nous faire retrouver le temps perdu, il devait sans doute croire que ce n’était pas une cause perdu. En voila le résultat. Trois petites dizaines de milliers de coucher de soleil, et c’est déjà la fin, frustrant non ? Il me reste au maximum, si je ne prends pas en compte le paquet de clope quotidien et la vingtaine de cuites mensuelle, une cinquantaine d’anniversaires. Je ne verrai que 50 fois les chiffres changés sur le calendrier de l’avant. Je m’aperçois que l’on peut résumer la vie à des chiffres, le capitalisme l’a apparemment compris avant moi. Tout ça pour dire que l’on doit arriver à reprendre le temps, pressons nous de retrouver notre temps.

    On doit faire prévaloir l’intégrité post passionnel par rapport aux excitations pré nuptial. Comment faire succombé une femme ? Seul Raphael compris qu’il ne fallait plus être réel pour séduire, mais hyper réel. Rester décalé dans ce nouveau monde déjà recalé. La femme vient se coller a nous si l’on a bien joué son coté protecteur séducteur (à ne pas confondre avec son coté producteur séquestreur).
    Raphael est encore au stade d’étudiant. Il étudie avec grande modestie la vie. Ses travers, ses vices, le passionne, il s en nourrit avec délectation. Toute les failles du système l’omnubile, tout les trous qui n on pas encore eu le temps de se faire reboucher. Le problème majeur de raphael réside dans l incapacité physique qu’il déplore envers le travail. Notre temps est dicté par les horaires, les délais, une course de fond qui nous dévore à petit feu. Le retard est une tare. On est dictée. Finalement moi qui avais un niveau déplorable en dictée, je viens de comprendre pourquoi, écrire un texte imposé sans droit de parole ni de réponse, à du être un des points de départ de ma revolte littéraire. Le zéro scolaire est en réalité très subversif, c’est un « fuck off » à la totalité du système, une rébellion profonde, encrée dans un domaine de réflexion révolutionnaire. Le zéro est une remise en cause du sens dictée par une organisation pré formaté, endoctrinant la virginité de nos esprits. Peu le découvre, mais le cancre peut s avéré être celui qui arrive le mieux a gravir l échelle social. Enfin il y a deux sortes de cancre, le cancre prolo, et le cancre haut de gamme. L’échec programmé est d’une grande bravoure, qui oserai aujourd’hui créer son propre échec, boycotté sa vie juste pour admirer l esthétique de la situation. On peut être heureux dans l’échec. Il n’y a pas de bonheur heureux.

    Jour d’extrême illumination intérieur pour raphael, son téléphone sonne, en approchant le portable a sa vue, il vu les quatre lettres qui ne le quitté plus, Lili,
    -Allo
    -c’est lili, je te dérange ?
    -non absolument pas, je suis heureux de t’avoir enfin
    -raph il faut que tu m aides, j’ai déconné, j’ai besoin de toi, ne me laisse pas raphael, je n’ai plus que toi !
    -MAIS QUE SE PASSE T IL ?
    -putain j déconné, j’ai tué, j’ai eu un trop plein de cocaïne, une orgie qui a dérivé en apogée sanguinaire,j’me suis enfuite, écoute je dois quitter Paris, tu m’aide, hein ? J’arrête mes conneries, sort moi de cette merde putain.. Je sais que je suis une pute finie en mal d’amour. Une salope de bas étage qui se donne l’impression d’être une femme du monde épanoui et enjoué par son environnement. Tout ça je le sais, on parlera plus tard, mais la vraiment il faut que tu me sorte de cette merde, jsuis encore en descente, j’aligne les pétards, plus rien ne me fais effet, aller aide moi merde.
    -écoute prend ton billet de suite et attends moi a la gare, mais tu sais le prix a payer si je t aide.
    – ….
    – Lili bordel je ne comprends plus rien, ou étais tu ? Tu sais l’amour éperdu que l’on s est offert, je suis tombais dans le cercle infernal de l’autodestruction par ta faute, et malgré ça, je suis encore prêt a t’aider, tu me dois des explications. Je vais sans doute sauver ta vie, alors sauve enfin la mienne. Je ne te demande que quelques mots, toi qui c’est tellement bien les accrocher les uns aux autres.
    – Raphael, pour la première fois de ma vie j’ai peur, peur du passé qui me rattrape, peur du présent qui me glace, et peur d’un futur forcement a éclaboussure. Tu es le seul, malgré tout le mal que j’ai fait qui peut être présent avant ma mort.

    Le style m’importe peu, seul l’idée doit rester. Raphael : (06/09/1984 ; 31/12/2054)

  1. rencontré é et pas rencontrer… je sais c est naze comme remarque mais ca me chatouillait…. sinon très très intéréssant..

  2. Bonjour,

    Ces derniers mois, les «droits d’auteur» ont fait l’objet de débats publics, puisque la majorité parlementaire entendait voter une loi. Les débats se sont beaucoup focalisés sur les oeuvres numériques et vidéos, qui font l’objet d’échanges gratuits dans les réseaux Peer-to-peer. Vous savez que les droits d’auteur des artistes de la chanson française sont bien protégés et valorisés (par exemple avec un paiement annuel en fonction de la diffusion des oeuvres sur les radios). Pour les auteurs d’oeuvres littéraires, qu’en est-il ?

    C’est pourquoi, puisque vous êtes une personne concernée par ces oeuvres et par leurs créateurs, nous vous adressons cette présentation de l’agence "Des Droits à la Hauteur".

    Nous souhaitons contribuer à ouvrir un débat. La situation actuelle est simple : les auteurs sont les créateurs des oeuvres, mais les auteurs ne disposent pas d’une information fiable, «sécurisée», sur les ventes de leurs ouvrages. Chaque année, les éditeurs dressent un état des ventes sur lequel les auteurs sont obligés de constater ce qu’il est, même si… Mais d’autres auteurs ne reçoivent jamais d’état des ventes.

    Les auteurs méritent d’être considérés et respectés; mais aussi d’être justement rémunérés pour leur travail et leur génie propre.

    Nous vous remercions de votre attention.

    François

  3. Actualité et information littéraires alternatives hebdomadaires. Critiques, chroniques littéraires, billets d’humeur. Citations.

    • fanchette sur 4 novembre 2006 à 12 h 38 min
    • Répondre

    Quel est le titre de la musique diffusée dans le bonus2 de Nicolas Rey (rubrique vidéo 2ème partie la dernière)

  4. Pour moi l’auteur le plus novateur du moment, celui qui utilise de façon nouvelle justement ce support et le matériau de la langue n’a pas 30 ni même 40 ans mais plus de 50… et vit dans le Jura.

    Son écriture est d’une sensibilité étonnante ("physiologique" dit-il)

    Son blog n’est pas à la "hauteur" de son écriture, mais il y a sa biblio :

    joelbastard.blogspot.com/

    Une phrase de "Se dessine Déjà" pour vous mettre l’eau à la bouche et aux yeux :

    "Et cette femme qui est un homme dont j’aime les contours prend de la vitesse sous ma main. La sienne trempant dans le bol d’encre chaude ou la sienne comme un sac de sang qui crève sur mes hanches pour que de le dire battent et palpitent les mots dans ma bouche"

    PS : je voudrais dire à Monsieur g**gle et les annonceurs qui n’en ratent pas une, qu’ils manquent leur cible : ni j’ai pas besoin de cours pour écrire, ni d’esclave sexuelle, ni je mets du parfum, ni j’ai besoin de femme de ménage (je suis assez grande pour le faire toute seule, le ménage)* car au moment où je poste ce commentaire, voilà les annonces g**gle à côté :

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    *et quand je dis "je" je pense que ceux qui fréquentent le buzz c’est pareil, mais alors comment le moteur à pub fonctionne ? Et pour qui nous prennent-ils ?

    • fanchette sur 17 novembre 2006 à 22 h 00 min
    • Répondre

    Les photos de la soirée du 21.11.04 ne s’affichent pas !

    • fanchette sur 19 novembre 2006 à 17 h 54 min
    • Répondre

    Merci beaucoups pour la rapidité de votre réponse !
    Vive le buzz+

  5. Merci à toi Fanchette de ton soutien et de ton petit message. C’est encourageant dans notre travail !

  6. Bonjour

    Je me suis permis de vous laisser quelques commentaires à ddroite à gauche. Ce nouveau message pour vous proposer un échange de liens avec le blog de la Revue Rue Saint Ambroise.

    Voici l’adresse de son blog : ruesaintambroise.blogspot…

    son mail : ruesaintambroise@gmail.com

    La revue Rue Saint ambroise publie exclusivement des fictions courtes contemporaines. Créée en 1999, elle a publié plus de 200 textes d’une soixantaine d’auteurs. Dans le petit monde des revues littéraires imprimées, c’est l’une des plus anciennes et des plus ouvertes aux talents de tous horizons. On peut proposer ses textes directement via le blog : une liste des textes reçus est réactualisée en permanence.

    Ce serait super si vous proposiez un lien vers son blog dans vos pages.

    Merci d’avance !

  7. Bonjour,

    Suite à la consultation de votre blog, et à la vue de la qualité de vos articles , je desirerai savoir si vous seriez intéressé de les diffuser sur notre site.

    Le principe serait simple: il vous suffirait de poster sur Alexandrie l’accroche et le premier paragraphe de votre article (ou de votre dossier) et proposer aux lecteurs de lire la suite sur votre blog.

    Cela vous permettrai de faire découvrir votre site à davantage d’internautes, et d’apporter du contenu supplémentaire à notre petite communauté. Nos "Niouzes" sont lues en moyenne entre 300 et 500 fois.

    Qu’en pensez-vous ?

    Bien à vous,
    Pascal, responsable du site d’Alexandrie Online

    • dollinger sur 7 décembre 2006 à 17 h 42 min
    • Répondre

    le texte N°1 d’Aurélien,c’est une blague?Comment pouvez vous afficher un écrit où il ya jusqu’à 3 fautes d’orthographe où de grammaire à chaque ligne.

  8. Bonjour Dollinger, Cet internaute a posté ce texte de façon libre. Nous ne supprimons pas les messages laissés, voilà tout…

    • fanchette sur 13 décembre 2006 à 11 h 03 min
    • Répondre

    Bonjour !
    Dans la rubrique 2004 la dernière galerie photo (cahier de la table ronde) ne s’affiche pas.
    Pour les autres aucun problème
    A bientôt !

    • fanchette sur 24 décembre 2006 à 19 h 32 min
    • Répondre

    quel titre (musique) entend t-on dans le clip Louis Lanher/Nicolas Rey ?

  9. Je suis ravie que vous m’ayez ajoutée à votre buzz-list, mais je voudrais préciser que je ne suis pas un blog d’archive. Le cadavre bouge encore, en tout cas, on le réanime régulièrement.

    Merci !

    • fanchette sur 7 janvier 2007 à 13 h 15 min
    • Répondre

    Cela ne repond pas à ma question.

    Info :Nicolas dans l’émission
    "abstention zero" sur LCP.

  10. Bonjour,

    Je prends aujourd’hui contact avec vous pour vous annoncer la manifestation intitulée « Le fantastique dévoilé », laquelle aura lieu du 1er au 10 février 2007 à l’Atelier Z (Centre culturel Christiane Peugeot – 62, avenue de la Grande Armée 75017 Paris.)

    Exposition d’artistes, auteurs en dédicaces et conférences thématiques seront au programme.

    Pour en savoir plus, je vous invite à cliquer sur ce lien : http://www.chintesco.com/actu.ht...

    Je me tiens à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire et profite de cette occasion pour vous souhaiter une très bonne année 2007.

    Cordialement,

    Manou CHINTESCO.

  11. Heileen, la modif a été faite.

    Fanchette, nous n’avons pas la réponse hélas car la personne qui s’est chargé de ce travail d’habillage musical n’est plus en contact avec le Buzz littéraire…

    • fanchette sur 23 janvier 2007 à 15 h 40 min
    • Répondre

    Je viens de surfer sur le site de la chaine LCP, et constate que malheureusement que l’émission
    "abstention sero" sera présenté par John Paul Lepers. Ils se sont plantés dans VSD.

  12. Venez lire "La Grande Inversion", un polar médiéval normand pas comme les autres sur eriklarsen.blog.fr/
    Bonne lecture!

  13. « Taâezzult-iw » (Confidences et mémoires), deuxième recueil de Ahcène Mariche

    ahcenemariche.free.fr
    Après avoir signé « Id yukin » (Les nuits volubiles), en 2005, le poète Ahcène Mariche, revient, une année après, avec un second recueil de poésie intitulé : « Taâezzult-iw » (Confidences et mémoires).

    Celui-ci est édité à compte d’auteur, comme le premier, il a été préfacé par Djamel BEGGAZ, il est composé de 25 poèmes écrits en langue kabyle avec leur traduction en langue française réalisée par Mohamed Melaz.

    Sorti le 07 mai dernier, « Taâezzult-iw » (Confidences et mémoires) est, actuellement, disponible au niveau des grandes librairies de la Kabylie et dans quelques-unes à Alger et à Oran, en attendant sa distribution à grande échelle.

    A travers Taâezzult-iw, Ahcène Mariche nous fait revisiter, avec la force de sa poésie, le bon vieux temps tout en mettant l’accent, lorsqu’il le faut, sur la société et l’univers culturel berbère.

    Partant de la pittoresque galerie que nous offre la nature, la dictée s’impose à lui avec un verbe bien moulé, aiguisé, parfois doux, parfois amer, c’est selon !

    Nous commençons l’aventure, avec lui, au royaume de l’amour, « où il n’y a ni roi, ni couronne, ni esclave, ni chaîne », par un hymne dans son poème « Sidi Valentin » (Saint Valentin) qui est devenu, sa carte de visite et où il rend un hommage aux couples amoureux, les célèbres et ceux en passe de le devenir.

    Imaginatif et plein de volonté, il a même mis sa poésie en forme de tableaux écrits avec de la peinture sur soie, ceci en quatre langues (s’il vous plait !) pour rendre sa poésie plus accessible dans un décor spécial qui initie chaque visiteur, de son exposition, à son univers.
    Ajouté au fait que son verbiage de tous les jours soit poétique et proverbial, en écrivant, Ahcène possède une touche qui lui est propre, avec pareilles approche et analyse, dans ses textes, il ne laisse personne indifférent.

    Sa thématique toujours variée, de fil en aiguille, il installe son lecteur dans son bateau et le laisse entrevoir ses horizons. Il accorde, volontiers, une visite guidée dans des sujets où la saveur, la portée, la philosophie, la composition sont les éléments de son équation qu’il aime proposer à ses fans et lecteurs afin d’apprécier le moment de vérité.
    L’analyse du scientifique, le regard de l’artiste, la sensibilité de son âme, sa volonté, sa détermination font la recette de son bon plat pour qu’il convie (à sa table !) les amoureux de la lecture et les adeptes du bon verbe et de la poésie.

    Toujours attentif, mais quand son courant littéraire trouve espace, il s’impose et se fait une intensité remarquable. Touche à tout, caresse, presque fait rêver, t’envoie loin, sans visa.
    Nous avons fait avec lui le voyage et admiré les scènes et les décors de chacun de ses poèmes. Nous avons humé l’air parfumé des vallées fleuries et participé à ses joies et peines et compati aux blessures de ceux qui affrontent la dureté de la vie, le besoin inassouvi, le désespoir…

    Ahcène, un amoureux des voyages, se permet même de prendre le vent comme monture qui lui fait voir de toutes les couleurs et l’installe à la fin sur la chevelure d’un roseau et le subira sans résistance car il plie à sa convenance.

    Fidèle à ses imaginations, aujourd’hui, il se voit démuni de cœur puisqu’à sa place, c’est un cimetière qu’il y installe pour enterrer ses soucis, tristesses… Il espérait vivre en paix tel un flâneur car ses nuits sont éveillées et volubiles. Plein de personnages se présentent à lui : mendiants, bergers, sages, qui, pour le guider, qui, pour le supplier, qui, pour le torturer, l’autre l’inspirer… Lui qui est au four et au moulin, les ténèbres lui semblent infinies.

    Dans un de ses poèmes, servis dans ce deuxième recueil, il fait parler l’aiguille, qui l’eut crut ? Il nous parle de négligence, de jalousie sans pour autant se vouloir moralisateur. Il parle aussi de santé, du père, « le meilleur des pères », qu’il dédie à son père en particulier et à tous les pères dignes de ce nom.

    L’effet d’un seul mot, « AWAL » s teqbaylit, souvent banalisé, trouve, dans les textes de Ahcène, une analyse poussée à l’extrême.

    Rejoignant la croyance populaire, il imagine le destin sourd et aveugle jusqu’au jour, où, se retrouvant devant une glace, il parle à lui-même et interprète cette image qui se dresse devant lui.

    En lisant les textes d’Ahcène, nous retrouvons le sens complet de cette célèbre citation : « Le poète est un géant qui passe sans effort par le trou d’une aiguille, il est aussi un nain qui rempli l’univers. »

    Fiche technique du recueil :

    Titre : « Taâezzult-iw » (Confidences et mémoires)
    Auteur : Ahcène Mariche
    Édition : A compte d’auteur
    Traduction : Mohamed Melaz
    Préface : Djamel BEGGAZ
    Conception : BEGGAZ.Info
    ISBN : 9947-0-1264-6
    Nombre de pages : 122
    Prix public : 180 DA

    http://www.kabyle.com/article.ph...

    Email : ahcenemariche@yahoo.fr
    Site : ahcenemariche.free.fr
    Tél : (+213) 71 50 32 63

    Biographie de Ahcène Mariche
    Ahcène Mariche est né le 21 février 1967 à Tala Toulmouts dans la commune de Tizi Rached à l’est de la ville de Tizi Ouzou en grande Kabylie. Issu d’une famille modeste et jalouse de sa culture. Baignant dans un climat où la culture règne en maître, l’hérédité aidant car son grand-père maternel Ali n SAID était poète troubadour et une maman qui l a toujours bordé avec l’ ACEWIQ et les chants anciens .
    Les gènes de poésie ont surgit en l’âme de AHCENE avec les compositions qu’il a signées en étant lycéen en classe de 2ème AS à Larbaa Nath Irathen.
    Les années 80 avec leur lot de revendications et le marasme qui y régnait a été un autre ingrédient pour la bonne cuisine de notre Ahcène.
    Dans sa poésie il multiplie les saveurs, les regards, les analyses et se permet même de nouvelles approches et d’autres angles d’approche dans ses visions poétiques.
    Très calme de nature et attentif il prend toujours le soin de bien observer, mâcher ses mots…
    Très à l écoute de sa société, très critique dans son regard, imaginatif à l’extrême il pousse loin ses idées et nous convie à chaque fois à faire avec lui des voyages inédits voire des odyssées.
    Il est professeur de physique, cameraman et photographe, il mêle et entremêle la science à la littérature, l’image et le son, les rêves et la réalité qu’il traduit en juste mots pour dire et écrire…
    La touche psychanalytique, surréaliste, humaniste… sont omniprésentes dans ses œuvres. Son expérience dans l’enseignement, les fréquents voyages qu’il ne cesse d’effectuer un peu partout et ses fréquentations multiples d’horizons différents lui sont d’un grand apport.
    Au niveau de sa famille on retrouve une grande école où plein de professeurs se retrouvent : du professeur de civilisation américaine aux professeurs de lettres arabes passant par le journalisme et même le droit dans toutes ses branches, ainsi qu’un professeur d’histoire, s’ajoute à cela l’élément catalyseur qu’est les sciences physique qu’il aime à fond.
    Les débats au sein de la famille sont omniprésents avec tout ce que cela entend comme regards croisés sur les choses de la vie qui suscitent leurs attentions.
    Jaloux de sa langue maternelle le Tamazight, il écrit avec ; mais en guise de lui donner d’autres ailes, il traduit ses poèmes en plusieurs langues dont le français, l’anglais, l’arabe, l’italien, l’allemand, l’espagnol, le japonais ,le chinois et le danois .
    Même vers des contrées lointaines, il a fait parvenir ses pensées comme pour leur dire qu’on est là, et leur ouvre l’armoire de notre culture ancestrale qui n’a rien à envier aux autres cultures et est au diapason de l’évolution et de la modernité.
    Dès le jeune âge ,son oreille est devenue telle une ventouse qui se colle à son poste radio pour écouter sa radio fétiche : la radio chaîne 2. Il visita les locaux de son monde imaginaire en 1977, et depuis, il a tissé les liens qui lui on permit de revenir à plusieurs reprises en tant qu’invité d’émissions. Il était membre du groupe Thilelli qui soutenait les producteurs et animateurs de ladite radio par des avis, conseils, recherches…
    Ses rencontres avec plusieurs artistes de renom : Cherif Kheddam, Nouara, Ait Menguellet, Medjahed Hamid, Malika Domrane, Cherif Hamani, Farid Ferragui, ali meziane, ont été des stimulants de taille pour une carrière qu’il n’imaginait guère. Il a animé plusieurs soirées et galas avec d’autres chanteurs : Taleb Tahar, Moh Oubélaïd, Kamal Bouyakoub, Hacène Ahres, Idir Bellali, ALILOU…
    Etant au collège Laïmèche Ali de Tizi Rached, entre 1979 et 1983, ses professeurs découvrirent en lui le germe de l’écriture et son amour pour la culture. Une fois au lycée Abderrahmane El Ilouli à larbaa nath irathen qui a vu naître les : Matoub Lounès, Izri Brahim, Amghid, …. malgré une orientation en série science, en 1983, notre Ahcène trouva le milieu propice. Les festivités l’inspirèrent jusqu’à prendre part et devient même l’animateur. Il fit connaissance avec un autre lycéen amateur de chants « Hacène Ahres » avec qui il activait et prirent un chemin d’animations.
    En septembre 1986, il entra à l’institut technologique de l’éducation pour devenir un professeur de physique. Là aussi, les activités culturelles lui collèrent à la peau et a même osé chanter à maintes reprises lors des soirées qu’il a organisées. Encouragé par tous les camarades, les professeurs et les amis, son stylo s’est mis à faire couler ses larmes bleues et à constituer son premier registre qu’il ne montrait qu’aux intimes.
    Ayant obtenu son diplôme, en septembre1988, il entama une carrière dans l’enseignement au collège de Tizi Rached, comme professeur de physique. Très communicatif, la mission lui a été très facile. Deux années plus tard, il crée avec ses amis un club de correspondances et voyages au niveau du centre culturel de Tizi Rached où plusieurs activités furent organisées pour la promotion de la jeunesse et de la culture.
    La rencontre avec un journaliste de http://www.kabyle.com a changé sa vie puisque il lui a ouvert les portes d’un vaste monde, celui de l’Internet. Il fut contacté par un professeur à l’université de Corvalis aux Etats-Unis d’Amérique pour publier son poème Sidi Valentin dans la célèbre anthologie « TO TOPOS ». Au printemps 2005, son poème fut publié.
    La chaîne de télévision « Canal Algérie » lui a ouvert les portes à maintes reprises dans son émission : Bonjour d’Algérie, où il déclama quatre poèmes en quatre langues pendant son premier passage, puis dans l’émission TV RAMA.
    L ENTV lui a consacré un reportage dans SAIF EL DJAZAIR durant le l été 2006 et deux passages durant l ‘année 2005
    La radio chaîne 2 découvre son poème Sidi Valentin et l’invita à l’occasion de la fête des amoureux pour déclamer ses poèmes, et Sidi Valentin fut une première dans la poésie kabyle le 13 février 2004 dans l émission de Slimane Belharet. Comme il a été l’invité de kamel si mohamed dans son émission Aawaz d umedyaz à trois reprises en 2005 et 2006. Mouloud ALEK ne le rata pas a l ‘occasion de la saint valentin 2006 où il l’invita à son émission le jour même de la fête des amoureux
    La presse écrite lui a réservé plusieurs articles et interviews dans : Le Matin, La Nouvelle République, Le Citoyen, Côte Ouest, Liberté, L’_Expression, Le Soir d’Algérie, Akher Saâa, La Dépêche de Kabylie.
    On y trouve aussi ses poèmes sur plus d’une quinzaine de sites Internet et autre blogs : http://www.kabyle.com, http://www.KabyleS.com, http://www.berberescope.com, http://www.vospoemes.com, http://www.oasisdesartistes.com
    Pour mieux présenter son œuvre et consacrer tout l’espace qu’il faut, il crée un site Internet : ahcenemariche.free.fr où il livre ses poèmes, photos, articles et interviews et même un livre d’or.
    Très ouvert, communicatif, il ouvre son cœur , tout le monde et écoute tout le monde.
    Voyant que son message a pu atteindre des milliers d’auditeurs, lecteurs et téléspectateurs, et devant l’insistance de ces derniers à découvrir ses autres produits, il a édité son premier recueil de poésie intitulé : Id Yukin (Les Nuits Volubiles) composé de trente deux poèmes en kabyle traduits en français et compte 113 pages où il aborde divers thèmes : l’amour dans tous ses états, la femme, le rêve, la paix, la beauté, la nuit, la vérité, l’ingratitude.
    Tantôt réaliste tantôt surréaliste, il sais épouser les nuances de l’arc-en-ciel de ses états d’âme qu’il traduit en mots, en vers puis en poèmes.
    Apprécié, 11 mois plus tard, il édite son deuxième recueil qu’il a intitulé jalousement : Taâzzult-iw (Confidences et Mémoires) composé pour sa part de 25 poèmes et compte 122 pages.
    Le Haut Commissariat à l’Amazighité lui a publié six poèmes en Kabyle dans un recueil intitulé « Tibhirt n yimedyazen », publication collective pour 14 poètes en septembre 2005.
    L’écrivain et chercheur Youcef Merahi lui a consacré deux pages dans son CD « Digest Kabyle » édité en mai 2006 et qui paraîtra sur papier dans quelque temps.
    La chaîne de télévision BERBERE TV lui a consacré plusieurs passages dans l emission ITIJ N TMURT de ALI HADJAZ et l’émission tamurth iw de AHMED DJENNADI
    Restant sur la même longueur d’onde il nous propose cette fois d’autres pulsations et frondes avec des sujets originaux portant son analyse habituelle : l’aiguille, la négligence, la jalousie, paroles de nuit, mon père, face au miroir, la montre, le destin aveugle, Zivka…
    Son viatique reste toujours plein. Plus de 300 poèmes attendent leur tour pour être édités.
    Ne se contentant pas du papier uniquement, il trouve une idée originale, transcrire ses poèmes avec de la peinture sur la soie qu’il met en cadres et constitue une exposition de 40 tableaux en quatre langues qu’il expose un peu partout et décore avec les plateaux de télévision à chacun de ses passages.
    Poussant son imagination aussi loin que possible, il a conçu une carte de vœux spéciale Saint-Valentin sur laquelle s’y trouve son poème dans un décor assez original conçu par son ami l’infographe Djamel Beggaz, et qui a été une très belle surprise pour les jeunes kabyles à l’occasion de la fête des amoureux 2006.
    En juillet 2006, la Chaîne de télévision nationale (ENTV) lui a consacré un reportage sur toute son œuvre artistique diffusé dans l’émission « Saif El Djazair » (Eté d’Algérie).
    En Août 2006 ,il a été invité a la rencontre entre artsites peintres et poètes EL IBDAE TAWAM EL HOURIA organisé par la bibliothèque nationale à Tipaza du 15 au 25 Août où ses poèmes furent reproduits en tableaux par les artistes Saliha khelifi et Noureddine zekara qui sont offerts au musée de tipaza.
    Ahcène a participé a plusieurs activités culturelles un peu partout : les racontes-arts de beni yenni, l hommage aux artistes d’azeffoun, l hommage à cheikh el hasnaoui, l’hommage a cherif kheddam, la fête du tapis d’ ait hichem, le deuxieme et troisieme salon de la litterature amazighe et de l’audiovisuel organisés à Bouira en septembre 2005 et à Oran en mai 2006par
    le H C A
    Il a animé un café littéraire et exposition de ses tableaux à la bibliothèque nationale algérienne de la hamma le 23 novembre 2005 ainsi qu’un récital poétique à l’occasion de l a saint valentin 2006 le 14 février 2006comme il a animé des réctals poétique dans les campus universitaires de tizi ouzou ,blida et bejaia et l ‘etablissement ART ET CULTURE d ‘alger

    Biographie de Ahcène Mariche
    Ahcène Mariche est né le 21 février 1967 à Tala Toulmouts dans la commune de Tizi Rached à l’est de la ville de Tizi Ouzou en grande Kabylie. Issu d’une famille modeste et jalouse de sa culture. Baignant dans un climat où la culture règne en maître, l’hérédité aidant car son grand-père maternel Ali n SAID était poète troubadour et une maman qui l a toujours bordé avec l’ ACEWIQ et les chants anciens .
    Les gènes de poésie ont surgit en l’âme de AHCENE avec les compositions qu’il a signées en étant lycéen en classe de 2ème AS à Larbaa Nath Irathen.
    Les années 80 avec leur lot de revendications et le marasme qui y régnait a été un autre ingrédient pour la bonne cuisine de notre Ahcène.
    Dans sa poésie il multiplie les saveurs, les regards, les analyses et se permet même de nouvelles approches et d’autres angles d’approche dans ses visions poétiques.
    Très calme de nature et attentif il prend toujours le soin de bien observer, mâcher ses mots…
    Très à l écoute de sa société, très critique dans son regard, imaginatif à l’extrême il pousse loin ses idées et nous convie à chaque fois à faire avec lui des voyages inédits voire des odyssées.
    Il est professeur de physique, cameraman et photographe, il mêle et entremêle la science à la littérature, l’image et le son, les rêves et la réalité qu’il traduit en juste mots pour dire et écrire…
    La touche psychanalytique, surréaliste, humaniste… sont omniprésentes dans ses œuvres. Son expérience dans l’enseignement, les fréquents voyages qu’il ne cesse d’effectuer un peu partout et ses fréquentations multiples d’horizons différents lui sont d’un grand apport.
    Au niveau de sa famille on retrouve une grande école où plein de professeurs se retrouvent : du professeur de civilisation américaine aux professeurs de lettres arabes passant par le journalisme et même le droit dans toutes ses branches, ainsi qu’un professeur d’histoire, s’ajoute à cela l’élément catalyseur qu’est les sciences physique qu’il aime à fond.
    Les débats au sein de la famille sont omniprésents avec tout ce que cela entend comme regards croisés sur les choses de la vie qui suscitent leurs attentions.
    Jaloux de sa langue maternelle le Tamazight, il écrit avec ; mais en guise de lui donner d’autres ailes, il traduit ses poèmes en plusieurs langues dont le français, l’anglais, l’arabe, l’italien, l’allemand, l’espagnol, le japonais ,le chinois et le danois .
    Même vers des contrées lointaines, il a fait parvenir ses pensées comme pour leur dire qu’on est là, et leur ouvre l’armoire de notre culture ancestrale qui n’a rien à envier aux autres cultures et est au diapason de l’évolution et de la modernité.
    Dès le jeune âge ,son oreille est devenue telle une ventouse qui se colle à son poste radio pour écouter sa radio fétiche : la radio chaîne 2. Il visita les locaux de son monde imaginaire en 1977, et depuis, il a tissé les liens qui lui on permit de revenir à plusieurs reprises en tant qu’invité d’émissions. Il était membre du groupe Thilelli qui soutenait les producteurs et animateurs de ladite radio par des avis, conseils, recherches…
    Ses rencontres avec plusieurs artistes de renom : Cherif Kheddam, Nouara, Ait Menguellet, Medjahed Hamid, Malika Domrane, Cherif Hamani, Farid Ferragui, ali meziane, ont été des stimulants de taille pour une carrière qu’il n’imaginait guère. Il a animé plusieurs soirées et galas avec d’autres chanteurs : Taleb Tahar, Moh Oubélaïd, Kamal Bouyakoub, Hacène Ahres, Idir Bellali, ALILOU…
    Etant au collège Laïmèche Ali de Tizi Rached, entre 1979 et 1983, ses professeurs découvrirent en lui le germe de l’écriture et son amour pour la culture. Une fois au lycée Abderrahmane El Ilouli à larbaa nath irathen qui a vu naître les : Matoub Lounès, Izri Brahim, Amghid, …. malgré une orientation en série science, en 1983, notre Ahcène trouva le milieu propice. Les festivités l’inspirèrent jusqu’à prendre part et devient même l’animateur. Il fit connaissance avec un autre lycéen amateur de chants « Hacène Ahres » avec qui il activait et prirent un chemin d’animations.
    En septembre 1986, il entra à l’institut technologique de l’éducation pour devenir un professeur de physique. Là aussi, les activités culturelles lui collèrent à la peau et a même osé chanter à maintes reprises lors des soirées qu’il a organisées. Encouragé par tous les camarades, les professeurs et les amis, son stylo s’est mis à faire couler ses larmes bleues et à constituer son premier registre qu’il ne montrait qu’aux intimes.
    Ayant obtenu son diplôme, en septembre1988, il entama une carrière dans l’enseignement au collège de Tizi Rached, comme professeur de physique. Très communicatif, la mission lui a été très facile. Deux années plus tard, il crée avec ses amis un club de correspondances et voyages au niveau du centre culturel de Tizi Rached où plusieurs activités furent organisées pour la promotion de la jeunesse et de la culture.
    La rencontre avec un journaliste de http://www.kabyle.com a changé sa vie puisque il lui a ouvert les portes d’un vaste monde, celui de l’Internet. Il fut contacté par un professeur à l’université de Corvalis aux Etats-Unis d’Amérique pour publier son poème Sidi Valentin dans la célèbre anthologie « TO TOPOS ». Au printemps 2005, son poème fut publié.
    La chaîne de télévision « Canal Algérie » lui a ouvert les portes à maintes reprises dans son émission : Bonjour d’Algérie, où il déclama quatre poèmes en quatre langues pendant son premier passage, puis dans l’émission TV RAMA.
    L ENTV lui a consacré un reportage dans SAIF EL DJAZAIR durant le l été 2006 et deux passages durant l ‘année 2005
    La radio chaîne 2 découvre son poème Sidi Valentin et l’invita à l’occasion de la fête des amoureux pour déclamer ses poèmes, et Sidi Valentin fut une première dans la poésie kabyle le 13 février 2004 dans l émission de Slimane Belharet. Comme il a été l’invité de kamel si mohamed dans son émission Aawaz d umedyaz à trois reprises en 2005 et 2006. Mouloud ALEK ne le rata pas a l ‘occasion de la saint valentin 2006 où il l’invita à son émission le jour même de la fête des amoureux
    La presse écrite lui a réservé plusieurs articles et interviews dans : Le Matin, La Nouvelle République, Le Citoyen, Côte Ouest, Liberté, L’_Expression, Le Soir d’Algérie, Akher Saâa, La Dépêche de Kabylie.
    On y trouve aussi ses poèmes sur plus d’une quinzaine de sites Internet et autre blogs : http://www.kabyle.com, http://www.KabyleS.com, http://www.berberescope.com, http://www.vospoemes.com, http://www.oasisdesartistes.com
    Pour mieux présenter son œuvre et consacrer tout l’espace qu’il faut, il crée un site Internet : ahcenemariche.free.fr où il livre ses poèmes, photos, articles et interviews et même un livre d’or.
    Très ouvert, communicatif, il ouvre son cœur , tout le monde et écoute tout le monde.
    Voyant que son message a pu atteindre des milliers d’auditeurs, lecteurs et téléspectateurs, et devant l’insistance de ces derniers à découvrir ses autres produits, il a édité son premier recueil de poésie intitulé : Id Yukin (Les Nuits Volubiles) composé de trente deux poèmes en kabyle traduits en français et compte 113 pages où il aborde divers thèmes : l’amour dans tous ses états, la femme, le rêve, la paix, la beauté, la nuit, la vérité, l’ingratitude.
    Tantôt réaliste tantôt surréaliste, il sais épouser les nuances de l’arc-en-ciel de ses états d’âme qu’il traduit en mots, en vers puis en poèmes.
    Apprécié, 11 mois plus tard, il édite son deuxième recueil qu’il a intitulé jalousement : Taâzzult-iw (Confidences et Mémoires) composé pour sa part de 25 poèmes et compte 122 pages.Le Haut Commissariat à l’Amazighité lui a publié six poèmes en Kabyle dans un recueil intitulé « Tibhirt n yimedyazen », publication collective pour 14 poètes en septembre 2005.
    L’écrivain et chercheur Youcef Merahi lui a consacré deux pages dans son CD « Digest Kabyle » édité en mai 2006 et qui paraîtra sur papier dans quelque temps.
    La chaîne de télévision BERBERE TV lui a consacré plusieurs passages dans l emission ITIJ N TMURT de ALI HADJAZ et l’émission tamurth iw de AHMED DJENNADI
    Restant sur la même longueur d’onde il nous propose cette fois d’autres pulsations et frondes avec des sujets originaux portant son analyse habituelle : l’aiguille, la négligence, la jalousie, paroles de nuit, mon père, face au miroir, la montre, le destin aveugle, Zivka…
    Son viatique reste toujours plein. Plus de 300 poèmes attendent leur tour pour être édités.
    Ne se contentant pas du papier uniquement, il trouve une idée originale, transcrire ses poèmes avec de la peinture sur la soie qu’il met en cadres et constitue une exposition de 40 tableaux en quatre langues qu’il expose un peu partout et décore avec les plateaux de télévision à chacun de ses passages.
    Poussant son imagination aussi loin que possible, il a conçu une carte de vœux spéciale Saint-Valentin sur laquelle s’y trouve son poème dans un décor assez original conçu par son ami l’infographe Djamel Beggaz, et qui a été une très belle surprise pour les jeunes kabyles à l’occasion de la fête des amoureux 2006.
    En juillet 2006, la Chaîne de télévision nationale (ENTV) lui a consacré un reportage sur toute son œuvre artistique diffusé dans l’émission « Saif El Djazair » (Eté d’Algérie).
    En Août 2006 ,il a été invité a la rencontre entre artsites peintres et poètes EL IBDAE TAWAM EL HOURIA organisé par la bibliothèque nationale à Tipaza du 15 au 25 Août où ses poèmes furent reproduits en tableaux par les artistes Saliha khelifi et Noureddine zekara qui sont offerts au musée de tipaza.
    Ahcène a participé a plusieurs activités culturelles un peu partout : les racontes-arts de beni yenni, l hommage aux artistes d’azeffoun, l hommage à cheikh el hasnaoui, l’hommage a cherif kheddam, la fête du tapis d’ ait hichem, le deuxieme et troisieme salon de la litterature amazighe et de l’audiovisuel organisés à Bouira en septembre 2005 et à Oran en mai 2006par
    le H C A
    Il a animé un café littéraire et exposition de ses tableaux à la bibliothèque nationale algérienne de la hamma le 23 novembre 2005 ainsi qu’un récital poétique à l’occasion de l a saint valentin 2006 le 14 février 2006comme il a animé des réctals poétique dans les campus universitaires de tizi ouzou ,blida et bejaia et l ‘etablissement ART ET CULTURE d ‘alger

    Saint Valentin
    Vivement le quatorze février,
    C’est la fête des amoureux !
    Chacun le vit en aventurier,
    En compagnie de l’allié bien heureux,
    C’est devenu des lors coutumier,
    Chez Valentin et Valentine tous deux.
    Chacun d’eux, empruntant son chemin,
    A la recherche d’un objectif.
    Ils finiront par trouver un dessein
    Qui prouvera l’amour décisif.
    Jeunes et vieux, dans le même bain.
    Poussés par ce vent attractif
    Et sérieusement touchés par le chagrin.
    Pour en cueillir des fleurs,
    Nous dégringolons les prairies.
    Tous, nous sèmerons dans les cœurs,
    La tendresse, point de jalousie.
    L’amour est un bienfaiteur,
    La guerre n’est que tragédie.
    Combien de siècles se sont écoulés,
    Que l’histoire, à présent, a réunis.
    Ils sont, au fond de l’amour, plantés,
    Epris, ils ont fait l’objet d’un récit ;
    Combien de cas pareils, éprouvés,
    Que nos mémoires relatent en série.
    Antar et Abla sont un conte,
    Chabane et Dhrifa Oujajih aussi.
    De Qeïs et Leïla, on raconte,
    Ainsi que de Roméo et Juliette unis.
    Que Said et Hizya ne déchantent,
    Symbole des nomades en furie.
    Quant à l’histoire toute récente,
    C’est bien celle de Fadhma et L’Hesnaoui.
    Celle d’Ahcène et Zivka représente
    Un mythe naissant ces jours-ci.
    L’histoire de Van Gogh est légendaire,
    Il ne s’est jamais produit de pareille.
    Il se croit tellement déplaire,
    Que sur lui, sa bien aimée ne veille.
    Une fois ses requêtes ne sont plus salutaires,
    Il décida de trancher son oreille.
    Chacun formule des vœux préférés,
    Le choix pour eux n’est guère difficile.
    Quant à moi mes frères, je suis troublé,
    Qui peut me servir de témoin utile ?
    Toute chose sur laquelle mon regard s’est posé,
    Se métamorphose de suite et devient futile,
    Ou bien, à mes yeux, s’avère insensée!

    J’ai trié avec soin des merveilles,
    Que j’ai destiné à ma bien aimée.
    Dans une main, une fleur sans pareille,
    Avec l’autre, quelques vers que j’ai rimés.
    Sur du papier, je claquerai sa beauté vermeille,
    Avec de l’argile, je ferai son portrait.
    Sur ses genoux, je viderai ma corbeille,
    J’ai des choses à dire, le temps me le permet.
    Mon amour, je l’étalerai en plein soleil,
    En scénario, je l’adapterai,
    Et nos rôles ne seront que merveilles !
    C’est le quinze Février,
    Nous sommes rentrés dans l’histoire.
    On est à présent identifié
    Et doté d’un nom évocatoire,
    Ce qui était dans l’ombre est maintenant étalé,
    Ayez Ahcène et Zivka en mémoire.
    Je te prie Saint Valentin
    Je te prie Sainte Valentine
    Je te prie, toi Qeïs,
    Je te prie, toi Leïla
    Je te prie, toi El Hasnaoui.
    Je te prie, toi Fadhma
    Je te prie, toi Said,
    Je te prie, toi Hizya
    Je te prie, toi Chabane,
    Je te prie, toi Dhrifa,
    Je te prie, toi Roméo
    Je te prie, toi Juliette.
    Nous nous joignons à vous,
    Epargnez-nous le ridicule.
    Vous avez souffert beaucoup,
    A présent, nous aussi, on brûle.
    On est montré du doigt tel un loup,
    Qui dirait un criminel ou une crapule.
    Du pan de votre manteau, couvrez-nous,
    En vous, les bénédictions pullulent.
    De grâce, de grâce, protégez-nous,
    Que de Baraka, votre âme dissimule.

    Les choses de la vie

    Les préoccupations sont nombreuses
    J’en ai sélectionné bon nombre
    J’ai choisi les plus sérieuses
    Pour en parler sans encombres
    Elles surgissent d’une façon mystérieuse,
    Bien que j’ignore jusqu’à leur ombre,
    Et me pénètrent d’une allure curieuse.

    La première faiblesse de l’homme est la crainte
    Elle est la cause de toute visée ratée
    Même si ta volonté d’une ferveur empreinte
    Voulant à tout prix atteindre le but tracé,
    À la fin tu découvres des intentions restreintes
    La pratique est difficile, la théorie semble aisée.

    C’est l’erreur qui semble aisée,
    Combien en sont arnaqués,
    En dépit de leur malice
    Aucun homme n’a échappé
    Sauf Dieu bien aimé
    Et ceux qui refusent le service.

    Le travail est un passe-temps
    Dès qu’on est dedans
    Les instants fuient à vive allure
    On oublie les tracas souvent
    C’est la santé soi-disant
    Même si la paresse ne provoque la mort sûre.

    Le fâcheux viatique est la fainéantise
    Comme une ombre elle nous méprise
    A chaque fois qu’on entame un projet
    A l’image d’une marchandise
    Qui ne se commercialise
    Elle finit toujours comme déchet.

    Le bon sens est une vertu magnifique
    Que tous les peuples revendiquent.
    Elle se fait rare de nos jours.
    Combien de solutions véridiques
    Aucun ne les communique
    Pourtant on les attend depuis toujours.

    La jalousie est un vilain sentiment
    De ses excès, on doit être prudent
    Par ce qu’elle cause des ravages.
    Elle transforme les vivants en mourants
    Elle aveugle les voyants
    La raison des hommes fait naufrage

    Le pardon est un cadeau précieux
    De cette vertu, qui de nous n’en veut
    Par les temps qui courent ?
    Ils dénouent des cas litigieux,
    Assure un monde merveilleux
    Et la vie ne sera qu’amour

    Le plus beau jour est celui que nous vivons
    Hélas, il ne dure pas longtemps
    S’il pouvait, au moins, s’allonger d’avantage
    Il nous a procuré tout ce que nous voulons
    Sa longueur équivaut à cent ans,
    Nous a délivré des malheurs sans gage.

    Ce qui vient au dessus de tout
    C’est bien l’amour fou
    Si tu le vis pleinement,
    Tes jours paraîtront doux,
    Les belles nuits au rendez-vous,
    Ton visage sera rayonnant.

    En conclusion, voici les choses de la vie
    Que chacun de nous, selon lui, apprécie.
    Quant au mien, j’en viens de faire part
    Que vous y trouviez rejet ou sympathie
    Je les ai exposées avec modestie
    Excusez un peu ma tare.
    Si quelqu’un a autre chose, le dit,
    Qu’il l’avoue et le clarifie,
    Nous l’écouterons à part.

    La négligence
    Ah ! Si on pourrait considérer
    La négligence comme arme en puissance!
    Elle est capable d’engendrer
    Catastrophes et souffrances.
    Elle est là pour dévaster
    La société en éternelles vacances.
    La négligence est un vilain défaut,
    Elle est la cause de bien de ruines.
    Elle est pour des hommes un bourreau,
    La destruction est sa routine.
    Que ce soit blanc ou noir corbeau,
    Tout finit dans la ravine.
    Autour de toi, jette un regard,
    Les exemples ne manque point.
    Parmi ceux qui chutent, la plupart
    Négligent les choses de loin.
    Toute la mémoire s’efface plus tard
    Par la négligence et avec soin.
    La négligence est maladive
    Elle aveugle, tue et paralyse.
    Semblable au feu que le foin avive,
    Ceux qui sont atteint le disent.
    Ou comme le courant qui arrive,
    Et dévaste les frontières et les balises.

    Chacun veut s’en défaire
    De cette négligence maléfique.
    Ensemble, soyons solidaires,
    Bannissons ce fait endémique
    Qui hante notre imaginaire,
    Pour enfin connaître une vie magnifique
    Beaucoup seront pénalisés,
    Combien connaitront les prisons.
    Leurs jugements seront le plus compliqués
    Puisqu’ils sont des malfaisants.
    Ils ont tué, détruit ou volé,
    Ils sont pires qu’un fusil ou un tranchant.
    D’un pied ferme et sans bruit,
    Ses pratiques sons grandioses.
    Elle rallonge les frontières ou les réduit.
    Elle va vite et l’affaire est close.
    Tel le noir de minuit,
    Au petit jour elle s’impose.

    Ahcène Mariche
    site web: ahcenemariche.free.fr
    e mail: ahcenemariche@yahoo.fr

    tel 00 213 71 50 32 63

  14. Bonjour.
    Mon blog en lien, je ne sais si vous le connaissez.

  15. J’écris depuis 25 ans. Je viens de créer mon blog : mazaud.over-blog.fr/
    Site d’écrivain et non d’auteur…

  16. Hier soir, j’ai entendu au journal télévisé de cancal algérie que la mosquée de consatantinople était la plus vieille du Maghreb Or loin de là car C’est en 1968 que l’idée de construire une grande mosquée à Constantine prit naissance. J’éspère que vous vous dispenserez de donner de fausses informations concernant le maghreb merci de votre compréhension.

  17. Bonjour,

    Depuis quelque temps, un nouveau jeu se répand sur la blogosphère à la vitesse du TGV Est: le Jeu des Quatre bouquins.

    On m’a fait entrer dans la ronde, je dois à mon tour y faire entrer quatre amoureux de littérature. J’ai envie de taguer deux éditeurs, un auteur, et vous. Vous pourriez nous aporter le regard frais de la nouvelle generation. Ce serait également l’occasion de faire un coup de projeteur à votre excellent blog. Je vais mettre le jeu en ligne cette semaine, voudriez-vous répondre à mes questions?

    Si oui, faites-moi signe par mail, je vous les envoie. Merci

    Aïda Valceanu-Moreau
    ecaterina.blogs-de-voyage…

  18. Sur le site du GFIV, vous pourrez lire le journal de Jane ainsi que mes bandes dessinées. Des heures d’amusement instructif…
    http://www.gfiv.net

    • Marinette sur 22 mai 2007 à 16 h 20 min
    • Répondre

    Autre site génial que je recommande à toutes et tous :
    leschauffeursdelimousinep…
    Marie

  19. Je suis une lycéenne, qui écrit des nouvelles et j’aimerais vos avis :

    A l’étage des désespérés

    – Ferme la fenêtre, tu veux donc me tuer ! S’exclama-t-elle de sa voix aigre.
    Carmelo leva aussitôt les yeux de sa grille de loto et lui lança un regard assassin.
    – La paix maman ! Tu ne vois pas que je joue ?
    La vieille dame fronça les sourcils, au dessus de ses petits yeux en forme de bille.
    – Tu ferais mieux de chercher du travail bon à rien ! Et ferme la fenêtre ! Ces jeux d’argent, on y gagne jamais…
    Il soupira, rangea son précieux bout de papier, passeport pour le rêve, qu’il ne pouvait pas utiliser devant elle, sans être accablé par des reproches incessants.
    Elle lui en voulait d’avoir perdu son emploi, de ne pas être marié et de vivre chez elle.
    Carmelo ferma la fenêtre et se rassit, les bras croisés, regardant le temps passer.

    – Vous êtes en retard Claudia…
    Elle tenta de se justifier mais c’était peine perdue. Elle savait que cette semaine, son comportement avait dépassé les limites.
    – C’est la troisième fois que vous n’êtes pas à l’heure. Vous avez des soucis Claudia ?
    La chef de service prenait un ton faussement compatissant. Claudia secoua négativement la tête.
    – Nous savons toutes les deux qu’être infirmières est un dur métier…si vous ne vous en sentez plus capable, cela peut s’arranger.
    Claudia repoussa cette éventualité. Elle avait des problèmes, certes, mais son travail serait bientôt tout ce qu’il lui resterait.

    Julie prit un panier, jetant un coup d’œil aux endroits où était placé la caméra de surveillance. Elle avait choisi cette épicerie pour son manque de sécurité. Il ne restait pas beaucoup d’endroits comme celui là, où on pouvait voler aisément. La marchande lui fit un sourire. Julie savait qu’une femme enceinte éveillant moins la méfiance, attirait plus la sympathie.
    Elle se mit à déambuler dans les rayons, hésitant. Son ventre bien en évidence.
    Elle n’avait plus personne, elle ne pouvait compter que sur elle-même. Pour se nourrir et nourrir son bébé.

    Claudia se mit à courir, et parvint juste à temps, avant que les portes ne se referment. Un homme en salopette usée lui bloqua la porte et elle s’engouffra dans l’ascenseur. Elle était heureuse de pouvoir changer d’étage. L’ambiance au deuxième devenait trop lourde. Distraitement, elle regarda autour d’elle. L’homme qui lui avait bloqué la porte, appuyé contre le fond de l’ascenseur, fuyait tout regard. Il était brun, l’air fatigué. Ses doigts se crispaient, il se tordait les mains. Claudia pensa qu’il devait être très inquiet. Au quatrième étage, l’ascenseur fit une étape, pour laisser rentrer un infirmier qui poussait une jeune femme enceinte dans un fauteuil roulant. Elle paraissait fragile et très jeune, des cernes se dessinaient sous ses yeux apeurés.
    – Elle va accoucher ? Demanda Claudia.
    Le jeune infirmier qui la surveillait du coin de l’œil acquiesça.
    – Oui. Accouchement prématuré au huitième mois, elle est en état de grande malnutrition. Elle a perdu les eaux dans une épicerie.
    La jeune femme grimaça sous la douleur puis pointa du doigt l’infirmier.
    – Dites donc, vous z’allez pas raconter toute ma vie à tout le monde !
    Il ne fit pas attention à sa remarque.
    – Je la transporte en salle de travail. Vous allez où vous ?
    Claudia hésita.
    – Heu…pédiatrie.
    A vrai dire, elle n’irait plus nulle part après ce séjour dans l’ascenseur. Elle avait prévu de monter jusqu’au dernier étage et de se jeter du toit de l’hôpital.
    L’homme en salopette faisait comme s’il ne les voyaient pas.
    Carmelo s’en voulait à mort. C’était un accident. Juste un accident. Comme d’habitude, la mère l’avait traité de paresseux, de feignant, incapable. Elle lui avait dit qu’il ne ferait jamais rien de sa vie. Qu’ils crèveraient tous les deux dans son taudis, qu’il était n’ était même pas capable de partir. Alors Carmelo avait vu rouge, il avait empoigné le vase en cristal- seul vestige d’un passé glorieux de sa mère- sur la table et lui avait lancé dessus. Avant d’avoir pu réaliser ce qu’il avait fait, la mère gisait par terre, le visage ouvert, le sang s’écoulant de ses plaies. Elle était là quelque part, dans l’hôpital et il avait fuit pour ne pas l’affronter. Il avait pris l’ascenseur pour une destination inconnue.
    Il y eut un drôle de bruit. Comme un chuintement, puis un craquement.
    Puis l’ascenseur s’arrêta.
    – Qu’est-ce qui se passe ? Gémit Julie dans son fauteuil roulant.
    L’infirmier essaya de l’apaiser, mais elle se mit à hurler. Claudia, dépitée, se dit que sa mort attendrait. Carmelo pria pour la mère ne le retrouve jamais.
    – Ce n’est rien, l’ascenseur va bientôt repartir…tenta Claudia.
    Mais elle croisa le regard de l’infirmier et se tut.
    – Appuyez sur le bouton d’urgence dit-il en direction de Carmelo. Il est juste derrière votre bras.
    L’homme à la salopette sursauta. Il repéra un bouton rouge, gros comme une pièce de monnaie et le pressa. Il n’était pas pressé de quitter cet ascenseur, lui. Son avenir se limitait à quand il la reverrait. La mamma.
    – Respirez, doucement, c’est bien…soufflait l’homme en blanc à Julie.
    Elle ne lui faisait pas confiance. Elle n’avait confiance en personne depuis que Stan l’avait abandonnée.
    – Je veux pas accoucher ici…gémit-elle.
    Claudia, sans savoir ce qu’elle faisait, pressa sa main.
    – C’est votre premier ?
    – Bien sûr ! Vous me prenez pour une mère pondeuse ou quoi ?
    Un éclat de rire surgit derrière eux. A la grande surprise de tout le monde, même à la sienne, Carmelo riait. Il avait de la sympathie pour cette petite, très franche.
    Julie trembla sous l’effet d’une contraction soudaine.
    – Pourquoi il se gondole lui ? Demanda-t-elle faiblement.
    Claudia se tourna vers lui, l’inconnu qui riait et qui ne faisait pas preuve d’empathie. Elle lui trouva l’air plus jeune qu’elle ne l’avait cru. La quarantaine, peut-être…
    – Dites, vous avez eu des enfants, vous ?
    Julie avait besoin de savoir que quelqu’un était passé par là avant elle.
    – Oui mentit Claudia. Ça s’est très bien passé, ne vous en faites pas.
    Pour réponse, Julie poussa un cri déchirant. Cette fois-ci elle ne pouvait plus supporter la douleur.
    L’infirmier se pencha sur elle.
    – Je crois que c’est pour maintenant dit-il d’un air contrit.
    – Quoi ? Vous ne pouvez pas retarder le moment ?
    Claudia ne voulait pas rester là. Elle voulait simplement qu’on la laisse quitter sa vie. Elle n’avait rien demandé.
    Carmelo semblait le seul à ne pas s’inquiéter. Il avait bien trop peur de sa mère pour se soucier d’un accouchement dans un ascenseur.
    L’infirmier souleva Julie et la fit s’asseoir par terre, puis s’allonger.
    – C’est quoi vos prénoms ? Demanda Julia, crispée par la douleur. Qu’au moins je sache qui m’a sorti mon enfant du corps.
    – Claudia
    – Hughes
    Carmelo se braqua. Ce n’était pas comme si elle se souciait vraiment de ça, non ?
    – Carmelo lâcha-t-il, à regret.
    – Moi c’est Julie.
    Hughes l’infirmier compta les contractions.
    – Écoutez moi Julie, faites le petit chien…Vous avez suivi des cours de préparation à l’accouchement ?
    – Nan.
    Il tenta de cacher son angoisse, mais sa pomme d’Adam tressautait, au dessus de son col blanc.
    Claudia se mit à respirer lentement et profondément pour montrer à la jeune femme comment faire. Julie l’imita, et cela sembla l’apaiser un peu.
    – Claudia, vous allez m’aider. Encouragez là. Poussez Julie.
    Elle se crispa, mais elle était infirmière, elle devait reprendre le dessus.
    Julie poussa, s’accrochant à Hughes, échevelée et tremblante. Elle avait mal.
    – C’est bien, poussez dit Claudia. Continuez.
    Carmelo, tourna le dos à la scène. Il ne voulait pas voir ça. Il ne projetait pas d’avoir d’enfants dans un proche avenir et comme le disait mamma, il faudrait d’abord qu’il trouve une femme assez folle pour l’aimer.
    – Carmelo, s’il vous plait…
    La voix de l’infirmière le suppliait presque. Il daigna la regarder.
    – Vous pouvez me passer votre veste ? Demanda-t-elle.
    Il la lui tendit, d’un geste d’automate. C’était une veste légère, froissé, mais facilement déchirable.
    Une voix métallisée résonna dans l’ascenseur.
    – Veuillez patienter pendant que l’on essaye de débloquer le câble principal. Surtout ne paniquez pas.
    Julie s’énerva contre la voix féminine qui avait un timbre mécanique.
    – Eh peau de vache, c’est pas toi qui perd ses entrailles dans l’ascenseur !
    – Surtout ne paniquez pas répéta la voix.
    – L’enfant se présente normalement dit Hughes.
    – Poussez Julie.
    Carmelo se sentit soudain différent. Il allait assister au commencement d’une vie. C’était beau.
    Après avoir ressenti une douleur atroce, s’agrippant au montant métallique de l’ascenseur, Julie reprit espoir.
    – Je vois la tête dit Claudia.
    Elle voyait le crâne minuscule qui se profilait à l’horizon. Elle regretta de ne pas avoir eu d’enfants. Il n’était certes pas trop tard, mais ça serait plus dur que pour Julie.
    – C’est un garçon ! S’exclama Hughes en soulevant l’enfant, encore attaché par le cordon à sa mère.
    Il était couvert de plasma et Claudia utilisa la veste de Carmelo pour le nettoyer puis elle l’enveloppa dans son châle. Par chance, elle avait des ciseaux médicaux dans la poche de son uniforme.
    – J’veux que ce soit lui qui coupe le cordon…dit faiblement Julie en montrant Carmelo.
    Il s’avança alors vers l’enfant comme si on lui avait décerné un titre honorifique. Claudia serrait les mains d’Hughes entre les siennes. Elle avait voulu mourir et au lieu de ça, elle assistait à l’éclosion d’une vie.
    Carmelo coupa le cordon délicatement et le premier cri de l’enfant retentit, résonnant contre le plafond métallique de l’ascenseur.
    – Comment vous allez l’appeler ? Demanda timidement Carmelo.
    Julie semblait pensive, son enfant dans les bras.
    – Je sais pas.
    Elle regardait les yeux limpides de son fils, sa respiration tranquille, tandis qu’il reposait sur elle.
    La porte de l’ascenseur s’ouvrit dans un grincement.
    La lumière des murs blancs de l’hôpital éclaboussa la cage métallique.
    – Ça va aller maintenant dit Hughes.
    Claudia hocha la tête.
    – Oui, ça devrait aller.
    Carmelo, debout près de Julie, lui prit la main, lentement. Il fut le premier à la suivre dehors quand on l’emmena sur une civière. Il n’avait plus aussi peur de sa mère.

    Claudia, finalement s’était arrêté à l’étage de gynécologie. On avait installé Julie dans une chambre, près de son fils. Carmelo était redescendu quelques instants par l’escalier pour prendre des nouvelles de sa mamma. Elle ne lui en voulait pas tant que ça. Elle lui dit que pour une fois, il avait eu une réaction énergique. Carmelo se rendit compte alors combien il avait vécu dans le regard de cette femme solitaire et acariâtre.
    Hughes, buvait un café avec Claudia, ignorant qu’elle avait failli se tuer pour un mariage raté. Il la trouvait jolie, bien qu’elle soit plus âgée que lui.
    Dans la chambre qu’elle partageait avec une autre maman, Julie écoutait les résultats du loto à la radio. Elle ne pouvait pas deviner que quelques étages plus bas, Carmelo était le grand gagnant qui devait se dépêcher de se faire connaître…

    • mariepietra sur 25 juin 2007 à 15 h 28 min
    • Répondre

    NEWSLETTER

  20. Bonjour a tous,

    Venez découvrir le premier roman de LE BOLOC’H et MARCHESSEAU…
    Des teasers, des galeries de photos, des fonds d’écran…
    http://www.aoc-leroman.com

    • soler sur 23 août 2007 à 5 h 56 min
    • Répondre

    je voudrais etre sur vos news letters comme ont dit en France….Je n arrive pas ouvrir directement votre contact..j aime votre site….Merci Gerard Soler Montréal Canada

    • mamoune sur 29 novembre 2007 à 21 h 50 min
    • Répondre

    newsletter Merci

  21. aujourd’hui, juste pour vous signaler la présence d’albin, sur son chantier de construction, déconstruction et tâtonnements…
    albertbin.blogspot.com/

  22. Après "La Grande Inversion", un polar médiéval normand pas comme les autres, je vous propose de venir découvrir "La Seconde Bataille", un roman historique passionnant sur la Normandie de Guillaume le Conquérant.

    Plus de détails sur lasecondebataille.site.vo…

    Bonne lecture!

  23. Je vous invite à visiter le site du roman "toutes les rousses ne sont pas des sorcières". Vous y trouverez quelques extraits, la bio de l’auteur, la presse, les avis des lecteurs, et vous pourrez visionner plus de 25 vidéos consacrées au roman…
    http://www.toutes-les-rousses.fr

    • Comte de nissac sur 19 mars 2008 à 23 h 48 min
    • Répondre

    Dingue!!!!
    Connaissez pas Fajardie!!!!

  24. Bonjour,
    Je vous conseille la lecture de mon livre "Carnet d’Asies" aux éditions PUBLIBOOK. Je ne m’attends à aucun prix littéraire mais votre lecture m’intéresse. Et pourquoi pas toucher un lectorat de plus en plus vaste. Les concepteurs de ce site et leurs lecteurs sont bien entendu les bienvenus sur mon blog.
    A très bientôt que vous le lisiez.
    Chris-Tian Vidal.

  25. Le Peigne en Ecaille
    Jean-Pierre Angel
    Parution le 1er octobre 2008

    Une histoire poignante, dans la lignée de Un sac de billes

    Éditions de l’Archipel, Paris
    18,95 €
    ISBN 978-2-84187-937-3
    H 50-4857-4

    « Parler est digne. Parler est humain. Dire est indispensable. Et la vigilance est un devoir. Ce beau livre, émouvant et fort, en atteste. »
    Joseph Joffo

    Le difficile parcours du deuil et du renoncement
    Après la rafle du Vel d’Hiv, Simon Crespi, un jeune Juif, parvient à s’échapper du camp de Beaune-la-Rolande. Seul dans Paris, sans papiers d’identité, sans carte de rationnement mais aussi sans étoile jaune, le garçon erre dans les rues, mené par une seule interrogation : qu’est-il advenu de sa famille ?
    Une amie lui obtient de faux papiers pour passer en zone libre ou il est pris en charge par sa tante. A Villefranche-de-Rouergue, Simon retrouve une communauté juive clandestine. Ce qui n’atténue guère le vif sentiment d’abandon qu’il éprouve. A la Libération, il entreprendra des démarches pour retrouver ses parents déportés. En vain. Un peigne en écaille, c’est tout ce qui reste de sa mère. Simon jette dans l’océan le dernier lien avec son passé alors qu’il vogue à bord du paquebot qui l’emmène vers le Nouveau monde.
    « Il m’a fallu de nombreuses années avant que je reconnaisse que j’étais un survivant de la Shoah », dit Jean-Pierre Angel, né à Paris en 1938. Ce roman, mûri depuis trente ans, s’appuie sur son expérience personnelle. C’est aussi un ouvrage de fiction, porté par la force de témoignages recueillis au cours d’années de recherche. Jean-Pierre Angel a contribué à la création de la Fédération des enfants juifs survivants, qui favorise les échanges et les témoignages de ses adhérents. Il vit entre Paris et Boston.
    Rappel format : 140 x 225 mm
    Épaisseur dos : 25 mm
    Code barre : 978-2-84187-937-3
    ISBN 978-2-84187-937-3
    H 50-4857-4-0809
    18,95  prix France TTC

    Jacques Legand
    Service de presse littéraire
    01 42 78 41 95
    06 32 10 59 39
    presselit@aol.com

    Les avis des premiers lecteurs
    le 31/05/08 [Jaqlin
    L’écriture est intense, comme la teneur du roman. Je suis née juste après guerre et mes parents m’ont beaucoup parlé de ces persécutions innommables. Cependant, J.-P. Angel m’a émue plus d’une fois au long des pages de ce roman.

    le 27/02/08 [Anonyme]
    Émouvant
    J’ai adoré ce livre ! Il montre ce que les Juifs ont vécu mais par les yeux d’un enfant. Jusqu’à la fin, j’ai espéré avec cet enfant qu’il retrouve sa maman… J’ai eu du mal à trouver le sommeil ensuite… Bonne lecture !

    le 20/02/08 [Andrea]
    Poignant, émouvant !
    Ce livre vous saisit dès les premières pages et ne vous lâche pas jusqu’à la dernière. C’est l’histoire d’un enfant caché. On a beaucoup écrit sur les malheureux disparus dans les camps de la mort, mais on ne savait pas grand chose sur les tourments de ceux qui se sont cachés et ont attendu le retour des leurs. Leurs espoirs, leur désespoir, leurs désillusions… Ce livre vous reste en tête

    le 26/02/08 [Léonie Laborde]
    Très beau témoignage
    Il a su mêler l’imaginaire de l’écrivain aux faits réels. Livre très émouvant et très bien écrit ! Une autre facette de cette guerre vécue par un enfant.

    • Pour Chloe des Lysses sur 8 mars 2009 à 10 h 39 min
    • Répondre

    Top Slurp avec Estèbe Miam, philo et glouglou

    Les fidèles de Top Slurp le savent pertinemment. Cela fait une paye que la tête de mort avec fourchette et couteau, celle qui vous dévisage là à droite, veille sur ce blog. Depuis une époque où Albator avait encore ses deux yeux et Van Gogh ses deux oreilles. Depuis la préhistoire, quasi.

    Bref, l’autre jour, on a juré à la fois sauvagement et in peto, en découvrant qu’une jeune artsite brune nous l’avait piqué, notre crâne fétiche. Autant dire qu’on va illico lui lâcher nos avocats au derrière. Ça va saigner. Elle se fait appeler Chloé des Lysses. Elle a appris le piano, tourné dans des films pornos et fait tout plein de photos de groupes de rock. Elle vient de publier un bouquin chic, étrange et coquin baptisé The Pimp Cook Book (ed. Glenat). Un bouquin compilant des recettes de gens célèbres ou pas, le tout illustré par la dite demoiselle d’images un rien interlopes, drôles, gothiques, décalées, SM voire. Il y a des jarretelles sur les gambas et du cuir noir sous le chou-fleur.
    On louera au passage cette tentative d’entraîner l’iconographie culinaire sur les terres de l’érotic-fantasy et du rock’n’roll venimeux. De réconcilier résille et papilles, poils et poêles, sucs et fornication, bondage et rognons. Bref, ça nous change du bouc à Lignac et des cupcakes de la voisine.
    http://www.glenat.com

  26. PROUST Laetitia
    tél : 06.27.91.87.44
    05.49.39.48.35

    bonjour ,

    Je vient vous parler de certains de mes projets et la raison qui me pousse à faire tout ceci, puis l’espoir que mon histoire vous interesse et m’aider.
    J ai longtemps été maltraité en famille d ‘accueil puis violer pendant 8 ans . J ai été humilier et sans cesse j’ai entendu me dire que je serais une pute comme ma vrai mère , que j’arriverais à rien……J ai apprit le suicide de mon frère a 17 ans et j’ai du aller le reconnaitre à la morgue et m’occuper de tout !
    Je me suis battue pour avoir une vie correct et ne pas ressembler aux gens de ma famille ! J ai donc fait une psychothérapie longue et pourtant j’ai encore des séquelles. J ai des angoisses, des peurs, des cauchemars…..

    Aujourd’hui j’ai 31 ans et j’ai deux beaux enfants, et j’ai construit moi même ma maison j’y vis seule et je travail dur.
    J ai un rêve depuis l’âge de 8 ans c ‘est d être écrivain reconnu, mais ma mère ma longtemps dit ma pauvre fille tu fais pleins de fautes tu n’es rien ! et bien j’ai réussit à auto publier mon 4ème livre éphélide répertorier sur Fnac.com. un journal qui raconte ma vie , un journal qui donne et montre l envie de se battre et vivre.
    Il marche ce livre, j’ai contacter moi même des émissions, des magasines, les radios…..
    Aujourd’hui 3 éditeurs s’intéressent enfin au livre de Proust Laetitia.
    J ai participer à l’émission le winner sur nrj12 " ca passe ou ca trappe" dans l’espoir avec mes petits moyens de gagner l’argent pour payer l’éditeur !
    Sur six candidats je suis arriver en final , mais hélas je suis tomber dans la trappe , mais j’ai gagner des contactes et un peu plus de confiance en moi.
    J ai été en double page dans closer qui a parler de moi avec une sincérité et merci à eux.
    Puis la surprise , j’ai été à attention la marche juste histoire de passer un moment agréable dans le public et la boom ! j’ai été tirer au sort….
    Mon coeur malade qui es fragile mais tiens grâce à des comprimés était en palpitation intense. J ai donc été candidate sans rien attendre, toujours avec mes peurs , mes doutes, mon manque de confiance en moi. Puis j’ai été sur la dernière marche, et j’ai gagner . L émission sera diffuser le 20 mai 2009 et j’ai parler de mon livre , de mes toiles puis des restos du cœur à qui je vais remettre une partie de la somme gagner . J’ ai moi même manger à une époque dans les poubelles sans le soutiens de personne alors j’aime donner.

    Mon livre va enfin pouvoir être publier , et j’ai deux autres livre en cours…..
    J ai un blog qui recoit 4000 visites par mois et de joli com et des gens qui se sont sentis soutenu par mes écrits.
    J ai recut le soutien de beaucoup de personnalité connu qui sont en photo avec moi sur mon blog ( nadine trintignant, daniel evenou, jean pascal, mia frye etc )

    J ai également prévu une expo sur paris ou avec ma petite force et mon culot j’ai contacter des stars attraper à la sorti d un théâtre ou d’une émission et ils ont du voir ma sincérité mon envie de vivre et tout l’amour qu’il y a en moi car j’ai des personnalités surprenante qui viendrons à cette expo que je prépare depuis 3 mois et dont les bénéfices iront au resto du cœur.

    Je veux prouver que une personne inconnue peut mélanger les genres et les statuts , puis pour un soir être tous réunit pour une bonne cause et enfin me sentir vivante pour vous , pour moi , pour eux ……

    ET VOUS DIRE JUSTE :

    Je considère qu’écrire c est un univers,
    Ou notre conscience oscille se libère,
    J aime tous mots rempli d autonomie,
    Centrage sur soi dépouillement d instant vide,
    La plume m’aide à atteindre ma voie,
    Ne pas me perdre dans des fossés mouvants étroits,
    Je navigue sur moi même remise en cause,
    Gestation, clarification, j ose,
    Gribouille, je deviens ambassatrice de ma plume,
    Compteur à zéro vive le jeune de l’âme, je pose l’enclume,
    Travail sur soi qui donne des repères,
    Envie de se ligoter dans la communication avec autrui,
    Créer de nouveau chemin passionnant souhaité,
    C est être capable de s égarer.
    Merci la vie les amies, vous, de tous ses labyrinthes aimés,
    Des chemins parcourus ou mon esprit plus complet,
    Ou mon inventivité reste permanente,
    Restitué par l’amour, composé dédié mes sentiments ……

    J ai vécu 31 ans mais j’ai eu que 20 ans de bonheur sans cauchemars aujourd’hui on peut être vivant et debout et j’ai encore tant de chose à écrire pour vous …..et à vous dire ……

    • ahcene mariche sur 17 juin 2009 à 2 h 13 min
    • Répondre

    A l’occasion de la fête des pères qui s’annonce, je dédie ce poème à
    tous les pères de la planète et leurs souhaite longue vie.
    Poétiquement ahcene mariche

    Mon père
    Oh ! Toi père, le meilleur des pères,
    Je le dis et je le répète.
    Il n’a ni semblable, ni pair,
    Dans la liste des pères complète.
    Il est bon, je le préfère,
    Merci Dieu, pour ta bonté parfaite.

    Il est doux, connaisseur et savant,
    De sa bonne éducation, il m’a forgé.
    Il n’est pour personne indifférent,
    De la justice, il fait sa primauté,
    Il n’a que des amis, point d’opposants
    On le sollicite souvent pour sa bonté.

    Il s’est instruit à l’école de la vie
    Et les préceptes de la religion.
    Jeunes et vieux, tous réunis,
    L’adorent et le choisissent comme compagnon,
    Au point où l’ensemble de ses amis
    Voient en lui un exemple vivant.

    Son visage est toujours souriant,
    Un esprit large et généreux.
    Combatif, de ses tâches s’occupant,
    Son chemin est droit et rigoureux,
    Il demeure la fierté de ses enfants,
    Les conseillant d’être vertueux.

    Si tous les pères ressemblent au mien,
    Le monde changerait de visage.
    Si tous les pères ressemblent au mien,
    Le monde ne serait pas sauvage.
    Si tous les pères ressemblent au mien,
    Chacun respectera son entourage.

    Quand je regarde autour de moi,
    Oh ! Père, je t’aime davantage.
    La sainteté que j’admire en toi
    Elève en moi, le rang de ton image.
    Etre ton fils me procure la joie,
    Que Dieu puisse allonger ton age!

    Ma tendresse envers toi est réciproque,
    A chaque fois que tu me le fais sentir.
    La fierté que je te procure est sans équivoque,
    En faire part aux amis est pour toi un plaisir.
    Je demande à dieu et je l’invoque
    De prolonger notre union dans la joie, à l’avenir.

    Mets ton béret (ton chapeau) avec engouement,
    Sois hâbleur et hautain.
    Tes espoirs sont réalisés maintenant,
    Pour les filles et les garçons ; tu te souviens !
    Vers toi, chacun de tes enfants
    Est venu rendre hommage, un cadeau à la main.

    Ahcene mariche

  27. Un blog à découvrir.

    Un blog de prof mordant et cinglant. Une écriture nouvelle…

    foodamour.free.fr

  28. Entre saveur alpine de l’Italie du nord et odeur épicée de l’Afrique où il a séjourné, Tommy, le narrateur, est un jeune homme en quête de lui-même, il découvre le sexe, l’amitié, la vraie vie. Humour, tendresse et autodérision sont les ingrédients de "Peter Mayr Strasse" de Denis Costa (éditions Portaparole), un livre à parcourir avec gourmandise.

  29. De larges passages de "Peter Mayr Strasse" sont sur le blog
    dionisos83.skyrock.com/
    Excellente lecture à tous !

  30. Bonjour Chers Amis,

    Il n’est pas chose aisé de trouver sa place dans le panel littéraire.
    Je m’adresse à vous car vous m’avez déjà accordé votre confiance, allez prochainement le faire ou l’envisagez… Au-delà de votre lecture et de vos impressions que je serai heureux de partager, je vous demande juste une faveur…
    Créer un « buzz » autour du roman en transmettant ce message à ceux qui dans vos connaissances, votre entourage, seraient ou pourraient être attirés par « La Troisième Voie ».
    Je vous remercie d’ores et déjà de m’avoir lu jusqu’au bout.
    A très Bientôt
    Sylvain Lambert

    En dédicace au Salon du Livre de Paris 2010, le 29 mars, stand EDILIVRE.
    Au Salon du Livre Pierre Larousse de Toucy, le 4 avril 2010.

    « La Troisième Voie » – Roman
    Ou une réflexion sur les incertitudes, les hasards, les balbutiements de la destinée.
    Paris, le 08/02/2010.

    Sylvain Lambert apporte un nouveau souffle chez Edilivre en nous offrant une histoire sur la formidable incertitude de la vie. En prenant le prétexte d’une histoire ordinaire, il démontre à tout un chacun que la découverte de sa propre voie n’appartient qu’à soi.
    Il se sert d’un point de départ propre à de nombreux auteurs en mal de reconnaissance, afin d’emmener le lecteur tout au long des 356 pages de son roman pour un voyage plein de rebondissements.
    « Si vous voulez réussir, il faut ouvrir de nouvelles voies et éviter les chemins empruntés par les promesses de réussite » disait Rockefeller. Sylvain Lambert dans un style narratif contemplatif et humaniste, revisite cette citation en apportant sa propre définition : « Les plus belles histoires sont celles qu’il nous reste à vivre… ».
    Les chapitres assez courts du livre s’enchaînent, donnant un rythme enjoué au roman, ce qui entraîne le lecteur à ne pas vouloir quitter l’histoire pour en atteindre le dénouement. L’impression de vivre un film dont chaque lecteur est le metteur en scène, comme il l’est lui-même de sa propre vie.
    Après un premier opus, encore méconnu : « A l’horizon d’hier », il revient deux ans plus tard avec une histoire encore plus aboutie.
    « La Troisième Voie » est à découvrir sur commande dans toutes les bonnes librairies, sur les sites spécialisés de commandes en ligne, Amazon, Alapage, Fnac, Chapitre, Gibert Joseph…
    L’auteur propose également via son blog sylvainlambert77.over-blo… tous les liens permettant de se procurer le roman auprès de librairies partenaires et pour dialoguer en direct avec lui.
    Sa voie est désormais tracée, après cette lecture la vôtre le sera tout autant…

    Nouveauté——–Vient de Paraître——–Coup de Cœur

    Liens pour commander le roman sur le net :

    http://www.amazon.fr/Troisi%C3%A...

    http://www.alapage.com/m/ps/mpid...

    http://www.chapitre.com/CHAPITRE...

    http://www.gibertjoseph.com/GIBE...

  31. Bonjour,
    Je viens de sortir mon dernier roman que j’aurai bien voulu vous faire lire.
    Il est visible sur http://www.chtikie.com
    Cordialement

    • david sur 28 octobre 2010 à 22 h 18 min
    • Répondre

    Bonjour à tous,

    Je n’ai pas encore écrit de roman, mais cela ne saurait tarder. En attendant, rendez-vous sur:

    david-weber.over-blog.com…

    Il s’agit de nouvelles et de chroniques en français et en anglais; c’est drôle et SCANDALEUX, alors: bonne lecture… 😀

    • kartami sur 30 octobre 2010 à 16 h 00 min
    • Répondre

    Littérature > Roman > L’Île de Nosy-Bé rentre dans la littérature française insulaire et dans l’Histoire de l’océan Indien.
    Année 2043 : Autopsie D’une Mémoire.
    (Tamim KARIMBHAY.)
    ROMAN insulaire d’anticipation et d’initiation autobiographique du XXIème siècle à lire absolument et où, tous les genres littéraires se mélangent : Le titre du roman est déjà formé sur un oxymore : L’opposition entre d’un côté, l’Année 2043 qui annonce l’anticipation et le côté futuriste et, de l’autre côté, le passé analysé, évoqué par les mots Autopsie et Mémoire…C’est cet oxymore qui donne déjà toute sa force et sa dimension universellement littéraire à ce roman atypique du XXIème siècle !
    Synopsis du Roman :
    Nous sommes en mars 2043. La face du monde a changé depuis la Seconde Guerre mondiale. Les différents pays commémorent à leurs manières les centenaires de certains événements-clé politiques, militaires ou littéraires…comme celui de l’armée allemande capitulant devant Stalingrad, l’évacuation japonaise de Guadalcanal, l’insurrection des Juifs dans le ghetto de Varsovie, la naissance du chanteur et acteur Johnny Hallyday, la conférence de Téhéran entre Churchill, Staline et Roosevelt, la publication du « Le Petit Prince », d’Antoine de Saint-Exupéry, le décès du résistant français Jean Moulin, après avoir été torturé par Klaus Barbie, le général De Gaulle et le général Henri Giraud créent le C.F.L.N. (Comité Français de Libération Nationale) à Alger, la Première à Paris du « Soulier de satin » de Paul Claudel. Mais en 2043,…… un homme se souvient de son parcours de vie personnel…
    Lisez donc ce roman passionnant et émouvant de Tamim KARIMBHAY, Année 2043 : Autopsie D’une Mémoire qui vous entraînera dans les entrailles de l’Histoire et de la Littérature…et offrez vous cette plongée imaginaire dans le monde du XXIème siècle…
    Amith Khan est un jeune retraité de la fonction publique. Il vient d’avoir 67 ans. Il vit sur l’île française magnifique de La Réunion, région ultra-périphérique de l’Europe dans l’océan Indien. Il a voyagé partout dans le monde. Toutefois, un endroit a été omis volontairement. Mais un jour, le voile est levé. Ses enfants lui offrent un séjour complet de trois semaines, pour partir à destination de l’île de Nosy-Bé (Madagascar) – espace insulaire dans le canal du Mozambique, qu’il n’a pas revu depuis ses 18 ans – où il a passé les premières années de sa vie. Il rencontre là-bas, son ami d’enfance, Roger qui est devenu entre temps un taxi-man.
    Un demi-siècle s’est écoulé entre son enfance et sa retraite.
    Que lui réserve ce voyage hors du commun à travers les couloirs du Temps à la découverte des secrets de la Mémoire, enfouis dans les labyrinthes de cette île splendide, de sa capitale Hell-Ville et de ses villages alentour ?
    A la fin, l’écrivain vous réserve une sacrée surprise à travers son innovante "dédicace romanesque" insolite, lorsque le narrateur sort du livre pour s’adresser à l’auteur avec une voix sortie d’outre-tombe…
    Bonne lecture à tous !
    Détails du livre : Auteur : Tamim KARIMBHAY a écrit aussi le livre d’Histoire Nosy-Bé : Âme malgache, Cœur français disponible chez le même éditeur thebookedition.com, dans le catalogue Tourisme & voyages, Rubrique : Carnets de voyage, Format : Livre de poche (11x17cm), 331 Pages/ N° ISBN : 978-2-9533865-4-7 / Dépôt légal : Bibliothèque Nationale de France.
    Année 2043 : Autopsie D’une Mémoire est dans la Rubrique : Littérature Style : Roman Format : Livre de poche (11x17cm) / 450Pages. / N° ISBN : 978-2-9533865-0-9 / Dépôt légal : Bibliothèque Nationale de France.
    Lien d’achat : disponible sur commande en version papier ou en version PDF numérique chez la librairie en ligne : the bookedition.com

  32. « Vicilisation » est une anticipation sociale qui se déroule dans un futur immédiat.

    Sur fond de crise mondiale et de chute des cités modernes, elle relate les aventures de Jacques, un jeune architecte parisien au destin hors du commun.

    Son errance spectaculaire au travers d’un monde qui sombre dans l’anarchie lui révèle ce que beaucoup n’auront pas l’occasion de voir : le crépuscule d’une civilisation.

    Pourtant, dans les décombres encore fumants et les doutes, un fragile espoir semble renaître.

    Jusqu’où ira-t-il pour le défendre ? Que sera-t-il capable d’accomplir pour émerger de ce chaos ? Et vous, que feriez-vous ?

    • Un roman polyvalent et transversal sur 21 mai 2011 à 10 h 04 min
    • Répondre

    Année 2043 : Autopsie D’une Mémoire :
    De nombreuses thématiques et problématiques étudiées au lycée et surtout au lycée professionnel dans le cadre du nouveau programme du baccalauréat 3 ans, comme celles portant sur les sujets d’études suivants : – identité et diversité, parcours de personnages, le monde de l’imaginaire, le récit d’anticipation et la vision géopolitique du monde de demain, l’homme et son rapport au monde à travers la littérature et les autres arts, le récit de voyage, le récit de filiation, le récit de vie (l’autobiographie), le devoir de mémoire et l’intégration, la richesse de la diversité culturelle, la période coloniale et postcoloniale, le récit engagé et le questionnement sur la condition humaine, une approche philosophique et laïque de la culture humaniste – traversent intégralement et merveilleusement ce roman insolite …

    • Marco sur 6 juillet 2011 à 17 h 44 min
    • Répondre

    C’est assez effrayant, toutes ces annonces dans les coms… toutes ces cartes de visite balancées au hasard… ces pauvres publicités pour des livres, des blogs, qui s’accumulent sans fin… Dans quel but, franchement? quelle sinistre naïveté si leurs auteurs croient vraiment que ça va attirer du "client"… Et si vous recevez l’équivalent en privé, je vous plains, gens du Buzz Littéraire 😉

    • EHO sur 7 juillet 2011 à 13 h 55 min
    • Répondre

    Bonjour,
    nous apprécions particulièrement votre blog et nous souhaiterions vous tenir informé de l’actualité des Editions Héloïse d’Ormesson. Si vous êtes intéressé et si vous souhaitez recevoir nos programmes, n’hésitez pas à nous envoyer vos coordonnées à l’adresse suivante: eho@editions-heloisedormesson.com.
    Littérairement,
    EHO

    Email : eho@editions-heloisedormesson.com

    • roulayasin sur 8 juillet 2011 à 7 h 32 min
    • Répondre

    avez vs une newsletter?

  33. Bonjour,

    Je vous envoie en service de presse Le guide de l’auto-édition
    numérique en France (Publier et vendre des ebooks en autopublication).

    Un ebook pour comprendre la révolution numérique du côté des écrivains indépendants.

    Amitiés
    Stéphane

    • Muryel Sarrazin sur 15 février 2013 à 12 h 23 min
    • Répondre

    Bonjour,
    J’ai eu une proposition de Flammarion mais par manque d’informations, mon gendre a fait éditer mon livre par La Société des Ecrivains et sachez qu’après un an de pratique, je vous déconseille vivement de leur faire confiance!
    Mauvaise correction, non respect des demandes lors du BAT, biographie et résumé déformés, aucun compte rendu des ventes, chiffre erroné sur mon compte auteur de leur site! Toujours aucun paiement. Envoi du livre à des faux critiques qui en disent n’importe quoi et s’improvisent « agents littéraires » en pondant quatre fautes dans un paragraphe de trois lignes!
    Si ce n’est pas trop tard: Fuyez-les!
    Vaut mieux s’auto-éditer, des associations existent. Ça revient moins cher, et les livres sont édités à la demande.
    Bonne journée
    Muryel Sarrazin « L’Automne Des Eucalyptus »
    L’auto-édition étant différente de l’édition à compte d’auteur!

    • myette sur 27 avril 2013 à 11 h 33 min
    • Répondre

    Bonjour, après avoir publié « Comment devenir une mante religieuse quand on à des réflexe de fourmis » « Madame Robinson » « Le vélo de Berkovitz » chez Flammarion, je viens de publier « Nostalgie de l’avenir » chez Les Editions du Net. Un roman qui risque de se perdre dans la jungle littéraire où il y a peut-être plus de livres que d’arbres. Peut-être accepteriez-vous, si les premières pages – en lecture sur le site http://www.leseditionsdunet.com – vous plaisent de l’aider à venir respirer à l’orée de la forêt en le proposant à votre cercle de lecture. Sans aide il risque fort de disparaître dès sa naissance. Merci d’y jeter un regard et plus si affinité. Myette Ronday
    VIENT DE PARAITRE

    « Nostalgie de l’avenir » de Myette Ronday

    Croisée de deux destins dans une maison isolée. Elle, Sabine , anthropologue, la quarantaine, s’offre une retraite pour fêter la fin de longues recherches sur le Y King Mongol. Lui, Noé, vingt-cinq ans, vit toujours chez sa mère. Désœuvré, il refuse d’envisager un avenir personnel quand il a déjà peine à prendre consistance dans le présent. Il déboule dans la solitude de Sabine et cherche à obtenir d’elle une parole, un geste, un « il ne sait trop quoi » qui lui permettra de briser son désenchantement. Ce roman signe le retour de la littérature qui initie à la vie. Myette Ronday, non sans humour, rapporte ce croisement de destins dans une écriture déliée, exhalant la part du rêve ou du délire, captant la vérité intime des personnages. Le tout vibre d’une santé insolente.

    Née à Liège sous le signe des poissons, Myette Ronday vit aujourd’hui sur un causse du Lot. Elle aime le jardinage, Balzac, le vin d’Arbois, le Voyage d’hiver de Schubert, le filage et l’écriture au quotidien. Elle à déjà publié trois romans : Comment devenir une mante religieuse quand on à des réflexes de fourmis, Madame Robinson, le Vélo de Berkovitz (éditions flammarion)

    Comment se  procurer Nostalgie de l’avenir

    Les Editions du Net http://www.leseditionsdunet.com Tel:01.41.02.06.62
    ISBN 978-2-312-00907-0
    mais aussi
    Amazone, Fnac etc….
    Et bien entendu dans toutes les bonnes librairies.

  34. Bonjour,
    Je viens de faire paraitre mon quatrième roman : DETOURS DE VIES- un roman en faveur des restos du coeur
    http://www.lulu.com/spotlight/sylvainlambertvirgili
    (La page peut s’afficher en anglais ou en prix de vente en dollars, n’ayez aucune crainte tout ceci est sécurisée et lorsque vous entrez sur le site, vous choisissez votre boutique française et le prix de 14,95€ s’affichera alors pour faire votre commande)
    Disponible aussi sur amazon
    http://www.amazon.fr/Detours-Vies-Sylvain-Lambert-Virgili/dp/1291560459/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1384780119&sr=1-1&keywords=d%C3%A9tours+de+vies
    Et je l’espère auprès de tous les libraires qui accepteront de se joindre à l’opération.
    Si je m’adresse à vous, c’est parce que cette parution est originale car elle se veut caritative. En effet tous mes droits d’auteur sont abandonnés en faveur des « restos du cœur ».
    Cela représente 7 €/livre vendu.
    Si j’ai fait le choix de l’édition en ligne, c’est parce que celle-ci représente l’avantage d’être rapide et apportant un nombre élevé de droits reversés pour l’association. En revanche, il est certain que cette formule ne bénéficie pas des canaux de communication et de distribution habituels.
    Aussi, je viens vers vous pour deux raisons majeures :
    – Que vous puissiez relayer cette information dans vos réseaux professionnels et personnels
    – Que vous puissiez connaitre et acheter ce livre à vocation humanitaire.
    Je compte sur votre générosité et votre soutien que je sais particulièrement important et j’espère que vous entendrez mon appel.
    Si bien évidemment vous ne souhaitez pas participer à cette opération, vous pouvez également faire un don : https://dons.restosducoeur.org/
    Merci encore pour votre attention
    Bien à vous
    Sylvain Lambert (06230 Villefranche sur Mer)
    http://sylvainlambert-virgili.over-blog.com/
    Sylvainlambert77@gmail.com
    Twitter : @SLambertVirgili
    https://www.facebook.com/sylvain.lambert.virgili
    https://www.facebook.com/detoursdeviesunromanpourlesrestosducoeur

  35. Bonjour!
    Je suis un Marchand du Temple! Soyez plus indulgents que Jésus SVP!
    Je viens de publier un recueil de nouvelles tragi-comiques, chez l’Echappée Belle, intitulé: « Quelles Farces! ».
    Vous pouvez en voir de généreux extraits sur ma page Facebook, ainsi qu’une présentation complète sur le site de l’Echappée Belle.
    Je joindrai volontiers le communiqué de presse, mais ne vois pas le moyen de le faire…

    En vous souhaitant une agréable lecture, je vous salue cordialement!

  36. Je ne sais si c’est mon ordi le fautif, mais je ne vois pas apparaître d’adresse électronique, las!
    Comment puis-je donc transmettre mon communiqué de presse à Buzz littéraire?
    Merci!

    • AZEVEDO sur 23 mai 2014 à 11 h 17 min
    • Répondre

    Bonjour,

    Nous avons le plaisir de vous annoncer la parution du livre “Les Montagnes Bleues” de Philippe VIDAL, le 28 mai aux éditions Max Milo.

    Christian n’est pas un esclave comme les autres. En ayant secouru John Fenwick, le fils de son maître, il va bénéficier d’un traitement de faveur qui le détache du quotidien des esclaves dans les plantations de canne à sucre de Jamaïque, au début du XVIIIème siècle.

    Cependant, une terrible tempête va s’abattre sur la plantation et ainsi dévaster toutes les récoltes. Les esclaves sont donc contraints de ne plus travailler pendant des mois et ainsi ne plus rentabiliser la plantation de leur maître. C’est alors que le contremaître Stanton va imaginer un scénario machiavélique et sanglant, qui résoudra ce problème. Mais ses propos ont eu un témoin gênant, Christian, qui n’a pas d’autre solution que de trouver refuge auprès des colonies de nègres marron; ces esclaves fuyards regroupés en communauté dans les Montagnes Bleues.

    Ce titre est-il susceptible de vous intéresser?

    Je vous joins le communiqué de presse.

    Merci par avance de votre retour.

    Bien à vous

    Ornella Azevedo
    Service de presse
    Editions Max Milo
    46 rue René Clair
    75892 Paris cedex 18
    presse@maxmilo.com
    01-40-40-48-71
    @MaxMiloEditions

  37. Bonjour.
    La présentation de votre blog m’indique que je suis exactement dans le champ de vos préoccupations concernant mon nouveau roman « Saloper le paradis ». J’ai publié chez Michalon, Sedrap et divers éditeurs. J’aurais aimé pouvoir vous envoyer une version pdf car votre avis critique pointu me serait précieux.
    Les personnages, des urbains qui s’installent à la campagne à la recherche du calme, sont confrontés à une violence sourde, non spectaculaire que Michel Serre analyse avec subtilité dans « Le mal propre », à savoir les bruits de voisinage. Les souffrances secrètes, induites par ces situations, nouent un drame humain et sont l’occasion romanesque d’observer l’homme quand il se comporte en prédateur.
    Les premières réactions des lecteurs tournent souvent sur leur identification aux personnages et aux situations que nombre ont rencontré, et sur la question du langage, des jeux de sonorités de la langue.
    Votre recul critique me serait la chance d’un autre regard.
    Comment puis-je vous envoyer l’ouvrage ?
    Il est disponible en téléchargement sur le site TheBookEdition:
    https://www.thebookedition.com/fr/
    Il est possible de réagir sur mon blog:
    christianlouis.over-blog.com

    En espérant votre lecture, vos critiques, je vous adresse un clin d’oeil respectueux.

    Très cordialement.
    Christian LOUIS
    https://www.facebook.com/christian.louis.3591

    1. Mon roman « saloper le paradis » viens de re-sortir chez Fauves Editions.
      Disponible chez tous les libraires et en ligne, version papier et numérique.
      Bonne lecture.

    • Louise Le Bars sur 26 août 2018 à 15 h 38 min
    • Répondre

    Bonjour,

    je suis une auteure rennaise qui a autoédité son premier roman sur Amazon il y a peu 🙂
    Voici le lien du livre au cas où vous souhaiteriez y jeter un œil :
    https://www.amazon.fr/dp/198316402X/ref=sr_1_2?s=books&ie=UTF8&qid=1528964795&sr=1-2&keywords=Vert-de-Lierre
    Si vous souhaitez avoir un avis plus précis sur ce roman, voici le lien vers une chronique du roman sortie le mois dernier :https://livraisonslitteraires.wordpress.com/2018/07/19/vert-de-lierre/
    Il est également référencé sur Babelio et Livraddict.
    Je vous souhaite une belle journée,

    Louise

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