Delphine de Vigan lauréate du prix Saint-Valentin

Le Prix Saint-Valentin 2006 a été attribué à « Un soir de décembre » (publié chez Lattès à l’automne 2005). Le prix, qui sera remis à l’auteur, Delphine De Vigan le 13 février, était parrainé par Patrick Poivre d’Arvor, et le jury, présidé par Nikos Aliagas. Les jurés ont récompensé « l’impertinence du discours, la pertinence du style et la modernité littéraire au service du genre amoureux ».

« Un soir de décembre » est la troisième fiction d’une romancière attachante, qui avait déjà publié « Jours sans faim » et « Les Jolis garçons ».

Les autres auteurs en lice étaient Yves Bichet (« Le Porteur d’ombre », FAYARD), Céline Curiol (« Voix sans issue », ACTES SUD), Martine Dassault, (« Les Lys Casablanca », EDITIONS DU ROCHER), Véronique Olmi, (« La pluie ne change rien au désir », GRASSET).

Le jury 2006 est présidé par Nikos Aliagas entouré de Michel Audiard, Catherine Enjolet, Eric Giacometti Ysabelle Lacamp, Astrid d’Ozan, Marie-Pierre Planchon, Marie-Christine Saragosse et Daniel Vigne.

Le Prix Saint-Valentin 2006 est organisé en partenariat et avec le soutien de TV5 monde, le Champagnes Castellane, la Maison Boncolac, Les Parfums Clarins, le sculpteur Michel Audiard, Isabelle Beaumenay-Joannet, Frédéric Ruault et l’agence Face à Face.

Présentation d' »Un soir de décembre » par l’éditeur : « Matthieu Brin, quarante-cinq ans, publicitaire, une femme célibataire et deux enfants. Il a écrit un livre, a connu un très grand succès et obtenu un prix. Il reçoit des lettres d’admirateurs mais n’arrive plus à écrire. Un jour, il découvre la lettre d’une femme, une lettre étrange, différente, qu’il relit plusieurs fois et ne range pas avec les autres. ‘Un soir de décembre’, c’est l’histoire d’une femme qui écrit à un homme qu’elle a aimé, et n’a jamais oublié. L’histoire d’une faille soudaine dans la vie d’un homme, d’un couple rattrapé par l’usure du temps. ‘Un soir de décembre’, c’est l’histoire d’un moment de fragilité où les certitudes s’estompent, où le passé resurgit, où la mémoire se recompose. »

© photos Bertrand de Camaret.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.