Auteur : Max Monnehay

Gilles Cohen Solal et Max Monnehay sont dans un bateau… (émission Strip-tease « L’édition c’est pas de la littérature »)

Hier soir était diffusée l’émission Strip-tease, sur France 3, réputée pour ses tranches de vie filmées sans fard et souvent cruelles pour ses acteurs malgré eux. Son thème d’hier était notamment consacré au milieu de l’édition et suivait l’éditeur Gilles Cohen Solal (des éditions Héloïse d’Ormesson). Cigare au bec et caricature de tout ce qui se fait de pire à Saint Germain des prés, il nous a offert une série de moments culte entre suffisance grotesque, déclarations à l’emporte-pièce, libidineuse, misogyne et autre mauvaise foi de bon aloi… Au détour du documentaire, un visage familier est aussi apparu, celui de Max Monnehay (auteur de « Corpus Christine ») qui entre deux bouchées de risotto lui confiait ses problèmes d’argent et un projet de nouvelles érotiques…

Max Monnehay dénude sa plume dans « Playboy » et Lolita Pille tient son carnet de bord à New-York dans « Jalouse »

Les deux jeunes romancières, dont quelques nouvelles vous ont été données précédemment, signent toutes les deux ce mois-ci des pages inattendues dans la presse. Max Monnehay, l’auteur du désormais fameux Corpus Christine paru à la rentrée littéraire 2006, joue les « Vénus érotica » dans le magazine de charme « Playboy » avec une nouvelle érotique intitulée « La petite mort de Dieu » tandis que Lolita Pille raconte son exil new-yorkais où elle tente de trouver l’inspiration dans le magazine de mode « Jalouse »…

Des nouvelles de Lolita Pille, Max Monnehay et citations de David Foenkinos et Nina Bouraoui… : Bloc-notes

Vous êtes nombreux à nous demander des nouvelles de votre Max Monnehay et de votre Lolita Pille ! Bonne nouvelle : les deux jeunes romancières ne chôment pas et préparent, toutes deux, de beaux projets. De son côté David Foenkinos livre un commentaire intéressant sur Michel Houellebecq dans le cadre d’un entretien accordé au magazine Transfuge tandis que Nina Bouraoui révèle son roman coup de coeur du moment, plutôt étonnant (« Il faut qu’on parle de Kévin » de Lionel Shriver)… Enfin, aujourd’hui sort la tant attendue (et a priori musclée !) adaptation ciné de « 99 francs » de Frédéric Beigbeder par Ian Kounen, qui bénéficie d’un très bon accueil critique jusqu’ici. Dur, dur de résister…

« En attendant l’or » : la revue de la littérature alternative entre en scène ! (2 vidéos : Antoine Dole, Olivia Michel et Max Monnehay)

Ils attendent l’or et nous…, nous les attendions. Avec impatience ! Antoine Dole et Olivia Michel, deux des blogueurs les plus talentueux de l’e-scène littéraire, ont tenu leurs promesses et publient avec les éditions du Cygne le premier volume de leur revue littéraire « En attendant l’or » : le rendez-vous de la scène littéraire alternative.

Max Monnehay prépare déjà son deuxième roman…

Interviewée par le tout nouveau Magazine des livres (n° de novembre-décembre 2006) , la jeune romancière Max Monnehay (auteur de « Corpus Christine », prix du premier roman 2006) dévoile les grands thèmes de l’intrigue de son prochain roman qui fait écho à sa conception de l’écriture… Avis aux fans (nombreux) !

« Corpus Christine » de Max Monnehay : une jeune concurrente pour Amélie Nothomb livre un premier roman au parfum de soufre…

Nous évoquions dans notre billet de synthèse sur la rentrée littéraire de septembre 2006, la jeune auteure Max Monnehay, annoncée comme « la nouvelle Amélie Nothomb » par son éditeur Albin Michel qu’elle partage d’ailleurs avec sa célèbre aînée. Cette jeune auteure de 25 ans raconte dans « Corpus Christine » la domination sadique d’une femme sur son mari qu’elle séquestre et martyrise. « Le doute est un sale petit reptile, une simple morsure au doigt et c’est votre pauvre carcasse entière qui y passe », grince-t’elle au détour d’une page. Ce huis-clos oppressant, sur un sujet sombre, troublant et difficile rappelle en effet les thèmes « scabreux » autour de la folie humaine qu’affectionnent l’auteur d’Hygiène de l’assassin (et de « Journal d’hirondelle » en cette rentrée littéraire) et porte, de plus, un titre -alambiqué- très « nothombien »…
Christophe Greuet du site Culture-Café nous signalait son excellente critique sur ce livre.