« Opération manuscrits » Technikart : lauréats et nouvelle collection avec « Le manuscrit »

L’opération « manuscrits » lancée par le magazine Technikart à l’occasion du Salon du livre 2006 s’avère un franc succès. Objectif : découvrir de nouveaux talents littéraires. Après avoir reçu et examiné près de trois cents manuscrits, la revue a sélectionné six textes, qui ont provoqué l’enthousiasme de la rédaction. Deux mentions spéciales ont été également décernées.


Les auteurs retenus ont été présentés lors d’’une rencontre au Salon du livre, le mardi 21 mars, de 21h15 à 22h (Forum des auteurs). Un court portrait de chacun des lauréats et un extrait sera mis en ligne sur le site web www.technikart.com. Technikart rendra compte dans ses pages de manière régulière de leur actualité et les aidera dans leurs démarches éditoriales.

Les lauréats 2006 sont : •

« Fragments » de LUDOVIC LESTIDEAU
•« Eclipse à Pékin » de HUANG YINGLU
• « Le Carnaval des ombres (Chroniques frénétiques) » de PATRICK BENARD
•« Un cadeau » de KARINE GRANIER-DEFERRE
• « Nihil, Inc. » de SYLVAIN COURTOUX
• « Viens, on dit que le monde n’existe pas » de DELPHINE BERTHOLON

MENTIONS SPÉCIALES
• « Sorel Eros » de JACQUES PERRY-SALKOW ET FREDERIC SCHMITTER
• « La Ville sans regard (die Stadt ohne Blick) »de MATHIEU BERNARDI
Voir leur mini-bio et présentation ci-après.

En cas de publication par une maison d’édition dans les dix-huit mois suivant les résultats, les lauréats pourront bénéficier de visibilité pour leur oeuvre dans Technikart sous la forme d’un espace publicitaire. Cet espace leur sera attribué dans les pages du magazine et sur le site web avec la mention « Découvert par Technikart – opération manuscrits mars 2006 ».

Fort de ce succès le magazine ne compte pas s’arrêter là. Dans la lignée de leurs hors-séries littéraires, ils travaillent actuellement à la création d’’une édition partenaire « Découverte Technikart » avec les Editions Le Manuscrit (www.lemanuscrit.com).

Présentation des lauréats et de leurs oeuvres :

« Fragments »
de LUDOVIC LESTIDEAU

PRESENTATION : « Le choc des rencontres laisse sur le corps et dans les esprits des empreintes indélébiles que toutes les histoires, par fragments tentent de restituer. Partant de cette observation, et à l’’aune de personnages, tous créateurs (philosophes, écrivains, politiciens et artiste), FRAGMENTS redonne vie à trois histoires véridiques réinventées. La première est inspirée de la rencontre entre NIETZSCHE et une femme nommée Mme V.P., à Nice, en 1886. NIETZSCHE est alors totalement isolé de ses pairs et les moments passés en compagnie de cette personne seront les derniers sursauts d’une conscience fatiguée. La seconde relate la rencontre que fit Marguerite YOURCENAR à Paris aux premiers jours de la Seconde Guerre Mondiale avec un inconnu, dans les sous-sols de Paris, alors qu’elle abordait un tournant décisif dans sa carrière de romancière, passant du statut de dilettante à celui d’’écrivain professionnel ». La troisième prend appui sur un écrit de SUETONE à propos de l’étrange rencontre entre l’’Empereur NERON et SPORUS, son jeune serviteur et amant, qui se fit castrer peu de temps avant de l’épouser. Un quatrième texte, conclusion et réflexion sur la notion de « fragment » en littérature, clôt ce recueil en posant la question du statut de l’’écrit éclaté et du rôle du hasard dans la vie des créateurs. »

BIOGRAPHIE : « Je suis né en 1970 dans le Var. J’’ai étudié le droit à Nice et Aix-en-Provence où j’ai obtenu un doctorat en droit public. Parallèlement à ces études, j’’ai enseigné le français, l’’économie et le droit à des adultes et des adolescents, dans des établissements privés et publics. Je suis actuellement conseiller juridique dans l’administration monégasque. Depuis une quinzaine d’années, je suis très attentif au style d’écrivains qui me semblent contemporains, qu’ils soient français (MICHON, SAVITZKAYA, MODIANO, QUIGNARD, BERGOUGNIOUX, DESBORDES, HOUELLEBECQ, DARRIEUSSECQ…) ou étrangers (GOMBROWICZ, PAMUK, WOOLF, FITZGERALD…). J’’ai commencé à écrire à l’âge de 18 ans, d’abord des nouvelles, puis des textes de forme différente, en tentant d’’interroger la forme narrative à adopter (journal, théâtre ou roman) et l’histoire à raconter (absence de personnages, fiction, document historique retravaillé…). Je travaille actuellement sur un texte dont l’’histoire se déroule sur un demi-siècle, à Nice et où il y est question de PROUST et de WITTGENSTEIN, à travers la vie d’’une dizaine de personnages. »

« Eclipse à Pékin »
de HUANG YINGLU

PRESENTATION : « Une génération post-révolution culturelle, bercée par les idéaux communistes et confrontée à l’ouverture de la Chine, est divisée dans ses choix d’avenir. Yuxi, Lou et Lang sont trois amis de jeunesse, amateurs de poésie et partisans actifs. Après les événements de la place Tian’an men, Lang s’exile en Russie ; Lou part ensuite pour la France ; Yuxi est seule à rester à Pékin, et sa trace s’évapore dans la grande métropole. Après huit ans d’éclipse, Lou revient à Pékin à la recherche de Yuxi. Dans l’avion, les souvenirs se succèdent, évoquant leur vie commune. Suivant les conseils de Yuxi et malgré un amour naissant, Lou est partie faire ses études cinématographiques en France, et tente de réaliser son scénario. Elle se marie avec un ingénieur français et devient une femme d’affaires. A Pékin, Lou découvre un pays en mutation et ses compatriotes en désarroi. Dans une soirée privée, elle tombe nez à nez avec Lang qui possède des gisements pétrolifères en Russie. Lang courtise Lou lui faisant miroiter sa richesse. Lou se trouve à un nouveau carrefour de sa vie : d’un côté, son mari lui impose un enfant et une vie normale et de l’autre côté, Lang lui offre la possibilité de réaliser son film. Va-t-elle renoncer à l’amour pour de l’argent ? Yuxi refait surface à ce moment critique… »

BIOGRAPHIE : « Diplômée d’une maîtrise de littérature française et un titre d’ingénieur-maître en communication audiovisuelle, HUANG YINGLU a travaillé comme envoyé spécial à Paris pour la revue World Screen de China Films Editions. Aujourd’hui, elle a monté sa propre société Nouvelle Ere France et travaille dans les échanges économiques et culturels entre la France et la Chine. Elle a écrit un scénario de long-métrage de fiction Le neuvième ciel. Éclipse à Pékin est son premier roman. »

« Le Carnaval des ombres (Chroniques frénétiques) »
de PATRICK BENARD

PRESENTATION : « Nous sommes à Auxerre au tout début des années soixante-dix. Jeune et désoeuvré, Hadrien vit sa passion comme un refuge : la musique et le rock plus particulièrement. Au fil des années, cette passion lui fait prendre confiance. Il découvre les radios locales en pleine explosion et devient un animateur apprécié pour ses goûts musicaux et sa spontanéité. Les rencontres fugaces se multiplient et la fin des années quatre-vingt constitue un tournant irrémédiable dans sa vie comme dans celle du monde entier. A tel point que sa propre existence s’évanouit dans le paysage et qu’un autre prend alors sa place… Le traitement de l’histoire découpé en chroniques musicales, courtes et frénétiques, et la volonté d’insister sur l’évolution d’un groupe, d’un album, d’une carrière, symbolisent à la fois l’importance du rock dans la vie quotidienne et sa réelle influence sur le comportement des personnages ballottés par les aléas de la vie. Ils trouvent les forces d’avancer grâce à la musique et au rock plus particulièrement. Hadrien évolue au fur et à mesure que le rock lui-même change. La musique progressive accompagne son adolescence sans rejeter les fondamentaux de la pop, du rock et du blues. Il devient sombre, révolté, individualiste, à l’apogée du punk et de la new-wave, jusqu’à sa disparition. Werther se borne à une maîtrise calculée de ses connaissances musicales à l’instar de son errance et du travail qu’il trouve. Sa part de bonheur réside dans la nécessité de (re-)trouver les bases d’une vie familiale traditionnelle. L’’un comme l’autre, même si Werther s’en défend, sont des acteurs passifs de la vie. Ils subissent plus qu’ils n’anticipent. Ce que nous faisons globalement tous au quotidien. »

BIOGRAPHIE : « Auxerrois pur souche, je ne pouvais pas éviter l’amour du foot, et le rock s’imposa de lui-même. Avec des dribbles déconcertants et rythmés je fus tour à tour employé de banque, animateur au sein de radios locales, chargé de mission à la mairie de Paris puis chargé de communication au théâtre d’Auxerre. J’ai écrit un roman : « Les Iles du désert » aux Editions Nykta. »

« Un cadeau »
de KARINE GRANIER-DEFERRE

PRESENTATION : « Jade est sur le point de finir son premier roman, et pourtant elle n’arrive pas à le conclure. La situation se complique un peu plus quand un matin, elle se trouve face à une tâche qui a toujours été pour elle source d’angoisse : devoir offrir un cadeau. Le roman suit Jade pendant cette journée particulière, au cours de laquelle elle va se confronter à ses craintes et à ses souvenirs, mais aussi se laisser aller à ses désirs et à sa fantaisie. Ce chemin va l’amener à surmonter sa peur d’offrir un cadeau, lui permettant ainsi de se réaliser pleinement et de finir son roman. Parallèlement à ce récit, le roman met en scène la rencontre de Justine, une jeune fille coincée dans une société où le bonheur serait une autorité tyrannique, et Sacha, un petit garçon issu d’’un pays en pleine guerre civile qui se trouve soudain projeté dans ce monde étranger. En l’’aidant à retrouver son chemin pour retourner d’où il vient, Justine découvre la possibilité d’un autre monde, où le bonheur n’est plus ni une évidence ni une obligation mais une lutte au quotidien, nourrie d’inconnu et de désir authentique. Ce monde fictif peut être interprété comme le produit de l’imagination de Jade, qui trouve une échappatoire à sa réalité oppressante, sa difficulté à exprimer un bonheur que la société exige d’elle. »

BIOGRAPHIE : « Karine Granier-Deferre, 34 ans, partage son temps entre l’International Herald Tribune, les cours d’art dramatique et l’écriture. Après des études de journalisme et de sciences politiques aux Etats-Unis, son intérêt pour les évènements qui secouent les pays de l’ancien bloc soviétique en 1989 la pousse à effectuer quelques séjours prolongés dans cette région, notamment en Bulgarie. Elle travaille depuis 1996 au International Herald Tribune, actuellement au service iconographique. Fortement marquée depuis son enfance par l’univers cinématographique, et notamment par des auteurs comme John Cassavetes, elle explore depuis plusieurs années le métier d’acteur aux Ateliers de l’Ouest, dirigé par Steve Kalfa. Dans ce cadre, le travail sur l’imaginaire et la construction de personnages nourrissent son écriture, influencée par des auteurs comme Tim Burton, Enki Bilal, Caro et Jeunet pour leurs univers empreints de noirceur mêlée de féerie ou de fantastique, ou comme John Fante ou Hubert Selby Jr. pour leur introspection teintée de violence. Ils lui ont également donné l’’élan nécessaire pour finir son premier roman. »

« Nihil, Inc. »
de SYLVAIN COURTOUX

PRESENTATION : « 1. Il s’’agit d’un long poème basé essentiellement sur des samples et des citations. Pour vous donner une idée de la fricassée : il y a du Pere Ubu, de La Rumeur, du Kathy Acker, du Gilles Deleuze, du Gilles Lapouge, du Maïakovski, du Jérôme Bertin, du MBK, du Sollers, du Greil Marcus, du Ballard, du Nietzsche, du Palahniuk, du Dantec etc.. bref tout ce qui m’a marqué durant ces dernières années de lecture. Ce texte n’’est que l’’agencement de toutes ces citations mixées par moi. 2. L’’idée était de montrer le devenir nihiliste de notre monde en y incorporant non un contenu sur le nihilisme (il y est, par bribes) mais en faisant du nihilisme la forme même du livre. Nihil incorporé donc et incorporated comme une pieuvre immense dévorant sans fin le monde. 3. Il s’’agissait aussi de composer ce texte comme une partition musicale, avec son rythme, ses samples et citations, son travail sur les variations et le montage. Mon travail c’’est plutôt TG qui rencontre Wire qui rencontre Atari Teenage Riot qui rencontre Duran Duran qui rencontre… 4. La dernière idée directrice de ce texte était que le texte soit en quelque sorte un immense dialogue dont les tirets sont à la fois les ouvertures et les fermetures de ce dialogue, ponctué par les « dit-elle » empruntés à Thomas Bernhard. Comme un immense discours indirect libre en fait. Ce titre, Nihil, Inc., ne vient pas de Dantec, mais plutôt du morceau Damage, Inc. de Metallica sur « Master of Puppets » de 86. Les connaisseurs apprécieront. »

BIOGRAPHIE : « Né le 24 juin 1976 à Bordeaux. Vit à Limoges. Etudie la photographie. A publié : [i.e], Æncrages & co., 1999. Nihil, Inc. _7, Ikko, 2005. Action-Writing (manuel), Dernier Télégramme, 2006. Publications en revues : Action-poétique, Boxon, Cahiers du Refuge, Cancer, Docks, EvidenZ, Fusées, If, Java, Le Quartanier, Mix, Offerta Speciale, Poé/tri (anthologie / ed. Autrement), Plastiq, Talkie-Walkie, Remue.net, Bollettario.it, Hermaphrodite.fr, Criticalsecret.com, Son@rt, etc »

« Viens, on dit que le monde n’’existe pas »
de DELPHINE BERTHOLON

PRESENTATION : « La « Petite » a 22 ans, elle est trop grande, trop blonde, trop jolie. Recluse dans sa chambre immaculée, elle regarde le monde à la télévision. Sans existence sociale, elle refuse tout contact, murée dans un cocon plein de rêves d’enfance. La « Grande » a 24 ans, elle est toute petite, nymphomane, bordélique, et travaille au Samu parce qu’elle aime les gens morts. La Grande entretient sa cadette dans un rapport de dépendance affective qui confine à la guerre psychologique, et rivalise d’idées diaboliques pour lui en faire baver… Viens, on dit que le monde n’existe pas est un conte cruel, sorte d’Alice au Pays des Horreurs, porté par l’histoire de deux sœurs que tout oppose, héroïnes minuscules d’un drame vieux de dix-sept ans qui se raconte par bribes, comme un puzzle émietté, un polar intérieur. »

BIOGRAPHIE : « Née le 28 juin 1976 à Lyon, l’auteur y fait ses études, jusqu’à l’obtention de sa maîtrise de Lettres Modernes en 1999. Délaissant au grand dam de ses parents le confortable métier de professeur, elle monte à Paris rejoindre ses amis, jeunes réalisateurs, et se lance dans une carrière de scénariste. Outre le cinéma, son aspiration première reste l’écriture littéraire. »

« Sorel Eros »
de JACQUES PERRY-SALKOW ET FREDERIC SCHMITTER

PRESENTATION : « « PALINDROME : Du grec palindromos, « mouvement à rebours ». Mot, phrase… pouvant être lus indifféremment de gauche à droite comme de droite à gauche. L’’art du palindrome est très ancien (300 av. J.-C. ?) comme l’atteste le splendide In girum imus nocte et consumimur igni (Nous tournons dans la nuit et nous sommes consumés par le feu). » L’’écriture de Sorel Éros est partie de la volonté ludique de battre le record du plus grand palindrome de langue française, record détenu depuis 1969 par Georges Perec avec un texte — lisible dans les deux sens — de 5566 lettres. 33 ans plus tard, partageant la même passion pour l’art du palindrome, nous nous lançâmes sur les traces du pionnier Perec. Nous pénétrâmes sur des terres où se produisaient d’insolites vis-à-vis tels qu’Œdipe et Éole, Hamlet et Alice, tels que le château d’Elseneur et la tour de Nesle… Très vite il est apparu que Sorel Éros s’imposait à nous, tout se passant comme si quelque chose se générait de lui-même, quelque chose dont nous étions tout ensemble les acteurs et les témoins. Ce que nous vîmes dans l’envers des mots est relaté là, dans ce conte poétique et palindrome de 10001 lettres, peignant un monde en miroir où, comme en La Vierge à l’’Enfant de Jean Fouquet, vice et vertu se mirent et se confondent. »

BIOGRAPHIES : « Frédéric Schmitter : Né en 1969 — année du Grand Palindrome —, passionné de littérature à contraintes et en particulier les travaux de l’Oulipo. Venu à l’écriture au début de ce siècle par le biais d’Internet, il accumule les citations et participations en textes. Jacques Perry-Salkow : Né en 1959, pianiste et compositeur. Livre paru : Je suis le ténébreux, 101 avatars de Nerval, collectif Camille Abaclar, Éditions Quintette, avril 2002. S’intéresse depuis deux lustres et quelques poussières aux écritures en miroir et autres résonances. « Réfléchit » et publie dans Formules, Revue des littératures à contraintes ; Action Poétique ; Formes Poétiques Contemporaines… »

« La Ville sans regard (die Stadt ohne Blick) »
de MATHIEU BERNARDI

PRESENTATION : « La ville sans regard » est la traduction de l’expression allemande « Die Stadt ohne Blick ». Sous l’’occupation, l’’expression était employée par les soldats allemands pour évoquer Paris. Dans les rues de la capitale déchue, beaucoup de passants évitaient leur regard et faisaient comme s’ils n’étaient pas là, niant leur existence, les renvoyant à leur condition d’occupants non désirés. Paris, octobre 1942. Pierre Gaillac est le chef d’’une bande de gestapistes français. Petit voyou avant la guerre, il a fait fortune grâce au marché noir et au racket. La ville lui appartient mais son trône vacille lorsqu’il apprend que son bras droit a volé des toiles de grande valeur en partance pour le Reich dans une gare militaire allemande. Les occupants sont fous de rage. L’’enquête est confiée au Commandant Christian Vorminski, un officier allemand honnête et idéaliste. Presque immédiatement, ses soupçons se portent sur les gestapistes français. L’’Allemand parvient à convaincre l’’Inspecteur Lavrenti, un jeune policier français maltraité par les hommes de Gaillac, de l’’aider dans son enquête. Pendant ce temps, la belle Jeanne Sikorski infiltre un groupe de résistants… « La ville sans regard » est le récit de la lutte à mort que vont se livrer ces personnages dans un Paris affamé où presque tous les repères moraux ont disparu, un Paris sombre et violent où les plus cruels assassins sont devenus les chiens de garde du nouveau régime, un Paris de tous les possibles et de tous les drames. »

BIOGRAPHIE : « Mathieu Bernardi est né en 1976. Après des études en France et au Canada, il intègre le ministère de la défense en 2002. Passionné par les relations internationales, le rock anglais et les climats orientaux il tente actuellement de mélanger tous ces ingrédients pour mitonner un deuxième roman épicé, voire détonnant… »

2 Commentaires

    • Marcel sur 8 avril 2006 à 21 h 51 min
    • Répondre

    Trop long et trop de carrés sur mon écran 🙂

  1. Eh oui un petit bug informatique… Il faut réussir à lire entre les "carrés". Nos excuses… 🙂

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