Après « le Diable s’habille en Prada », « Fashion Babylon » tourne à son tour en satire le petit monde de la mode…

Nous vous parlions récemment de la sortie en film (prévue pour le 26 septembre en France) du best seller de Lauren Weisberger, « Le Diable s’habille en Prada« , sachez que la relève est déjà assurée par un nouveau roman, écrit par l’anglaise, Imogen Edwards-Jones, déjà l’auteur de plusieurs best-sellers (Hotel Babylon, Air Babylon) et journaliste à Londres (notamment pour le Times…) qui devrait bien connaître le même succès.


Elle applique la même recette : réveler les dessous les plus scandaleux et les plus authentiques du milieu de la mode. Si elle n’a jamais travaillé elle-même aux côtés des stylistes, elle a tout de même mené une enquête fouillée auprès d’experts eux-mêmes très bien informés (dont un(e) travaillant à Vogue).

L’histoire ? Elle raconte le quotidien d’une créatrice -fictive- suivie pendant 6 mois au cours du lancement de sa nouvelle collection : du défilé de mode au choix des tops en passant par la vente en boutique des modèles jusqu’aux couvertures de magazines. Le tout à grands renfort « d’anecdotes juteuses » sur un ton « alerte, vivant et drôle » promet l’éditeur (Bantam Press) .

Le style reste assimilé à de la « chick lit » mais il semble que sa plume soit moins pataude que celle de sa petite soeur Weisberger. Et particulièrement documenté sur le métier en lui même : de la création des tendances, au travail d’une coupe d’un vêtement en passant par les prix exhorbitants de certaines tenues mais aussi bien sûr les mythes du milieu dopés au cocktail « drogues et champagne », les intrigues et les stratégies qui se nouent entre les designers et les supermodels, les petits privilèges des uns et des autres… Bref, de quoi réjouir les fashion addicts de tout poil !

* Le livre est actuellement disponible en langue anglaise uniquement.

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